Radioactif 612

Radioactif  612

30 Mai 2012

La liberté en péril.

Je crois que mon livre de poésie : La liberté en péril, aux Éditions de l’Étoile de mer, explique bien que le conflit étudiant n’est que le prélude d’une guerre pacifique contre une mafia mondiale corrompue que l’on appelle le système.

Je suis persuadé qu’un jour les gens comprendront qu’il en va de la survie de l’homme de se débarrasser de la finance et de l’économie comme principale raison d’exister de nos sociétés.        

Le gouvernement tergiverse parce que Charest ne sait pas s’il sera plus payant de faire échouer les négociations ou régler le conflit.

En bon politicien accroché aux sondages (comme Bourassa d’ailleurs), il n’a pas pris de chance, il s’est présenté aux étudiants afin de pouvoir mieux prétendre qu’il a tout fait. On a qu’à attendre la suite pour voir.  Plus ça change plus c’est pareil, plus c’est pourri.       

 01 Juin 2012

Le vrai visage du conflit étudiant.

À ce que je sache, l’enseignement supérieur relève des gouvernements fédéral et provincial.         

Comme par hasard, on demande aux étudiants de se serrer la ceinture parce que les universités n’arrivent pas financièrement alors même que le gouvernement fédéral annonce qu’il coupe dans la recherche et l’aide à l’étude postsecondaire.

Est-ce que le gouvernement Charest cache ne pas vouloir affronter le fédéral et que par lâcheté il s’attaque plutôt aux étudiants pour combler le déficit dans les universités créé par le fédéral ?        

Si c’est le cas, pourquoi le Parti Québécois ne dénonce-t-il pas ce nouveau problème créé par notre appartenance au Canada ?         L’indépendance du Québec, ça presse !          

06 Juin 2012

On tourne en rond

 
Ça devient de plus en plus évident que dans 30 ans, on continuera de tourner en rond. Il faut peut-être passer à autre chose puisque dans un système aussi pourri que le nôtre il est impossible de rêver en toute légitimité que les Québécois seront capables de créer dans l’immédiat un pays.            

Pourtant, le fédéral fournit toutes les raisons pour être indépendant : baisse de l’aide aux universités (probablement la vraie raison de l’entêtement de Charest à ne pas résoudre le problème, car il devrait attaquer Ottawa, coupure dans tout ce qui est culturel, coupure dans les services à l’emploi, guerre à finir contre les syndicats et quoi encore, mais on continue de se quereller sur des virgules dans les partis souverainistes qui n’ont même plus assez de couille pour parler d’indépendance.

On en sortira jamais, car on crée des Claude Morin ( le ministre souverainiste qui collaborait avec la GRC) à tous les quatre mois pour diviser encore plus le vote.

Autant croire qu’il y a aura une résurrection générale après la mort tant qu’à y être. !

Heureusement, il y a la jeunesse qui se soulève contre toute cette pourriture institutionnalisée. C’est peut-être le début d’un temps nouveau ou de la fin d’une génération qui ne pense qu’à sauver ce qu’elle a empilé.  C’est la définition du nouveau capitalisme.

10 Juin 2012

Qui crée la violence ? L’escouade anti-émeute.     

Jean Charest et son équipe espère que l’appel au droit et à l’ordre vont faire monter la côte du gouvernement Charest, le plus pourri de notre histoire contemporaine au Québec, comme jadis,  Jean Drapeau en 1970.  

Ce sont d’ailleurs les mêmes conseillers du premier ministre qu’à l’époque. Les mêmes cris contre les méchants communistes devenus anarchistes. Les mêmes enveloppes brunes.           

Actuellement, le coût de la police pour permettre à M. Charest de crier à l’ordre a coûté très cher en salaires de policiers. Et la réforme ? C’est un faux problème.

Mais, certains Québécois sont habitués au tais-toi et fais ce qu’on te dit, sans même se demander si cet ordre respecte la dignité humaine. On est habitué de tout accepter les yeux fermés au nom de la loi et de l’ordre d’où la présente guerre des générations. Pas besoin d’un référendum pour se diviser.          

De plus, Steven Harper vient de couper dans l’aide aux universités et à la recherche. On n’entend pas crier les ministres libéraux sur le sujet. 

Mme St-Pierre peut bien jouer sur l’honneur, elle n’a jamais su protéger le français. Elle est l’incarnation de toutes les raisons d’avoir honte de maintenir en poste une ministre de la Culture aussi peu digne de son peuple.

Pour avoir mon livre La liberté en péril voici un lien

12 Juin 2012

La manipulation des médias

Pourquoi les journaux sont-ils contre les étudiants ?           

Il suffit de se demander qui sont les propriétaires des journaux pour savoir ce que le journal ou le média d’information pensera.      

Le journal est là comme la religion pour amener les gens à penser comme le système voudrait qu’ils pensent. Les journaux agissent dans le même ordre et de la même façon que dans les arènes de la Rome antique : un défouloir ou un moyen de créer la peur.           

Néron prétendait que les Chrétiens incendiaient Rome alors que c’étaient ses hommes de bras qui mettaient le feu. C’est comme l’anti-émeute de Charest aujourd’hui. La peur des anarchistes remplace celle des communistes du temps de mon père. Pourquoi sommes-nous assez idiots pour le croire ? Les médias d’information. La rapidité de la vie. Les journaux ou les médias réfléchissent pour nous.

Les journaux sont là pour nous empêcher de penser surtout quand on s’arrête sur ce qui se passe en Cour (la loi et l’ordre des avocats dont le plus célèbre est Jean Charest pour le moment). Vous remarquerez que plus le système est pourri, plus il y a d’avocats. Avant c’était les curés. Pas étonnant, ce sont des parasites.

Avec la diffusion de ce qui se passe en Cour, la production ne coûte presque rien et tout le monde se garroche pour lire ou écouter (TVA est de la grande fournée). Il faut avoir des monstres pour faire oublier qu’on se fait voler tout le temps par le système. Les bandits sont de l’ordre économique et non sexuel. Au contraire, les supposés dépravés sexuels arrivent à maintenir un degré de peur qui justifie à lui seul l’organisation d’une force de l’ordre armée plus coûteuse, une force qui coûte ou rapporte des milliards de dollars. Un moyen de manipuler le côté émotif des gens pour les ramener dans le système de la loi et l’ordre.           

Au Québec, on a deux propriétaires importants : Desmarais, l’anti-indépendance absolue, et Péladeau, le cash money absolu. Péladeau ce sont les 3 S : sexe, sang, sport. C’est ce que disait le père Pédaleau. Un journal n’amène pas le réveil national, il offre au peuple ce qu’il veut entendre. C’est lui-même qui me l’a dit et ce fut même rapporté sur les ondes d’un Radio-Canada encore libre.

La liberté en péril, Éditions de l’Étoile de mer.           

14 Juin 2012

La malhonnêteté intellectuelle de Charest

La malhonnêteté intellectuelle de Jean Charest vient d’éclater.    

On a qu’à lire La Tribune de Sherbrooke du 14 juin, page 13, où à part du titre trompeur (c’est ainsi qu’on manipule l’information) l’article « Voter PQ, c’est voter pour la rue»  Effectivement, Charest explique à ses troupes la stratégie voulant que la violence doit être identifiée au PQ pour mousser ses chances d’être élu. Ça rappelle l’époque où en 1970 les libéraux avaient la même politique. Quel parti politique malhonnête !           

La violence, les maques, c’est l’escouade anti-émeute quand les manifestations se déroulent pacifiquement comme c’est habituellement le cas. La police n’a pas besoin de violence pour justifier ses interventions, elle a la loi que Charest a promulgué. Un abus de pouvoir.          

À remarquer que les journaux ne font pas la première page avec cette révélation. Ils appartiennent à Desmarais et aux trois S de Péladeau.

Au moins aujourd’hui, on peut dire les preuves à l’appui que Charest est d’une malhonnêteté intellectuelle ahurissante. Il est tellement malhonnète qu’il se croit lui-même.

24 Juin 2012

BONNE FÊTE

QUÉBEC, MON PAYS !

26 Juin 2012

Lancement de La liberté en péril, dimanche 8 juillet, City bar, Montréal, à 14h.

Lancement collectif de livres    
aux Éditions de l’étoile de mer

Montréal – (Le 25 juin 2011) Les Éditions de l’étoile de mer est fier de vous inviter à un lancement de livre collectif le dimanche 8 juillet prochain de 14 heures à 16 heures au Citibar Pub-Cabaret situé au 1603, rue Ontario est à Montréal.

Réjean Roy, un auteur des plus prolifiques qui ne compte pas moins que 35 titres à son actif, lance une réédition de Les ombres de minuit. Ce texte poétique peint la douloureuse descente en enfer lorsque l’on perd celui qu’on aime. Il lancera également Plumes et pinceaux, deux agendas culturels dans lesquels il a participé cette année.         

Robin Gravel, pour sa part, procédera au lancement officiel de deux nouveaux recueils de poésie intitulés Sur les rives du poète et Sortilèges et satyres oubliés.            

Valérie Côté lancera son premier recueil de poésie Mon sang se fixe à l’aube, un recueil de poésie lesbienne rempli de sensualité et d’émotions fortes.

Enfin, Jean Simoneau sort La liberté en péril, un recueil de poésie combattante qui fait basculer tous les tabous.   


Les ombres de minuit     
de Réjean Roy, une rupture amoureuse tout en poésie.      

Par ce texte poétique, Réjean Roy fait face à un vide, à la nécessité de toucher du doigt les fissures de l’imaginaire, d’aller au-delà des apparences. La poésie est révélation. Le lyrisme intense qui surgit ici n’aurait pu exister ailleurs. À la douleur de la perte, au tragique de la solitude, il fallait que les ombres qui noient une Acadie nordique n’aient aucune chance d’être repoussées par les néons et les faux-fuyants de la grande ville. Cette voix est douloureuse, elle est forte, elle marque un seuil.     

On ne traverse pas les ombres de minuit sans que le regard ne change. Mais peut-on s’attendre à ce que le Verseau et l’ombre du dragon coexistent, définitivement, sans jamais rentrer en conflit? Le lyrisme est éternel et les ombres sont toujours là, menaçantes. Ces ombres qui hantent, en contrepoint, les photos, sans que nous puissions les faire disparaître de notre champ de vision.

Sur les rives du poète     
de Robin Gravel, un recueil de poésie émouvant.     

Le recueil de poèmes présenté ici se divise en trois sections distinctes, soit : les amuse-gueule, les irrésistibles et apologie permissive.       

Dans les amuse-gueule, on retrouve principalement des textes poétiques accumulés durant la dernière décennie. Ce volet intemporel contient des poèmes portant sur les émotions telles la solitude, l’amour, l’amertume, l’abandon de soi, les amours interdits, les faux espoirs et l’irréelle candeur.        

Dans les irrésistibles, l’auteur aborde principalement des thématiques comme l’eau, la mer, les souvenirs, les songes, l’amant idéal, les blessures de l’âme, les îles paradisiaques ou les châteaux d’Écosse.

Enfin, dans apologie permissive, cette troisième partie contient des textes rimés et inédits qui représentent les voyages au centre de l’univers, des fables en terres de glace, les songes romantiques et l’imaginaire de ce poète des temps modernes. À lire!       


Sortilèges et satyres oubliés    
de Robin Gravel, une poésie personnelle enivrante.            

L’auteur est un fervent défenseur du mysticisme. Ce recueil de poésie représente sa vision personnelle des événements qui l’ont marqué, qui ont forgé son caractère et qui l’ont fait grandir au cours des saisons qui se suivent à un rythme effréné, mais qui ne se ressemblent nullement.    

Au fil de son existence qui nous est racontée en vers, nous découvrons un lyrisme débordant, une sensibilité à fleur de peau, une envie irraisonnée d’aimer et de se laisser aimer par l’autre qui n’ose pas ou qui se fout de tout. Et que dire de son vocabulaire étoffé truffé de néologismes, de mots vieillis ou de références aux divinités mythiques? Que penser de ses rimes croisées ou embrassées qui nous rappellent les vers classiques? Quel délice! Chaque poème représente donc des instants de sa propre vie, que ce soit au printemps, à l’été, à l’automne ou bien à l’hiver.          


Mon sang se fixe à l’aube          
de Valérie Côté, un recueil de poésie lesbienne empreint de sensualité

La poésie devint un exutoire pour cette jeune auteure qui vivait des moments difficiles et qui venait de découvrir son orientation sexuelle. Pendant des années, elle peaufina ce texte qui deviendra Mon sang se fixe à l’aube. C’est en 2011 qu’elle obtint une bourse de mentorat pour retravailler son manuscrit. La poète de grand talent, Isabelle Forest, l’aida à donner une unité à son recueil et à définir son style d’écriture. Ce texte est donc le fruit du travail de sept longues années. Ce sont ses relations passées, sa relation actuelle et les relations lesbiennes des personnes que l’auteure affectionne qui l’ont inspirée. Mon sang se fixe à l’aube est un recueil où la sensualité et la peur de l’engagement se côtoient. De plus, la peur du jugement des autres est omniprésente puisqu’il est si difficile d’être vraiment nous-mêmes au quotidien, même en 2012.   


La liberté en péril  
de Jean Simoneau, un texte poétique sur la liberté.  

La liberté en péril est un regard, une réflexion sur soi, sur les autres et sur la vie. C’est une remise en cause de la légitimité de l’autorité, car écrire est une prise de conscience, donc, en soi, un geste révolutionnaire. Deux grandes vérités sautent aux yeux. D’abord, si on mettait autant d’énergie à combattre la violence que l’on en met à combattre la sexualité, le monde serait déjà fort différent. Puis, si l’Homme a évolué sur le plan de l’intelligence et de la technique; à cause de son émotivité, il cherche encore à sortir de sa caverne. La liberté en péril est une méditation sur les thèmes de la liberté, de l’amour, de l’authenticité, de la justice sociale, de l’honnêteté, de la tolérance et, globalement, sur le sens de la vie. En résumé, c’est une tentative de lucidité.   

Depuis 2009, tous ces auteurs ont été très actifs au niveau de l’édition. En effet, ils ont contribué ensemble à 9 projets d’écriture, soit : Sortir de l’ombre, recueil de nouvelles et de récit sur la sortie du placard ; Pulsions poétiques, collectif de poésie ; Les voisins d’à côté », collectif de nouvelles et de récits, De vers et de prose, collectif de poésie, Apparences trompeuses, collectif de nouvelles et de récits, L’opuscule à l’encre rose, collectif de poésie, Espaliers aux mots d’or, collectif de nouvelles et de récits.       

Tous ces titres ont été publiés par L’arc-en-ciel littéraire et sont distribués au Québec par Benjamin Livre. Ils sont également disponibles en format numérique grâce à un partenariat important conclu avec Ebook Éditions en Europe