Radioactif 583
Radioactif 583
Textes de 2010, p. 1341/1708
20 Mai 2010
La droite québécoise s’agite.
Le discours de Mgr Ouellet n’est pas qu’un simple coup de baguette pour transformer ses brebis en militants, mais le résultat d’un momentum à la fois politique et moral. Pas pour rien que le Canada est dirigé par l’extrême droite des pétrolifères.
La droite québécoise ne sait plus où jeter de la tête depuis que le grand prêtre de l’Amérique, George Bush, a été remplacé par Obama qui est un présent extraordinaire.
La droite est à la fois religieuse, à cause de ses valeurs, et politique, appuyant sans réserve la dictature. Le pouvoir est autant le capitalisme que le communisme. Ici, la droite s’appelle : Harper et ADQ.
La nouvelle droite est une idéologie qui se dit créationniste alors que la gauche tend plutôt à une vérité plus scientifique, carrément évolutionniste, parfois athée.
En s’en prenant à l’avortement, Mgr Ouellet essaie de modifier le tir de son Église par rapport à l’avortement : faudrait aider plus les filles-mères comme l’enseignent les Évangiles. Il a raison, mais pour cela, l’Église doit nous ficher la paix avec sa morale quand il est question de sexualité.
L’Église ne voudrait pas que les gens s’aperçoivent que leur fanatisme est le moyen le plus certain d’encourager l’avortement. Mieux vaut un avortement que de vivre le jugement d’une société bornée et méprisante.
Avec leur morale, datant d’un autre millénaire, où l’enfant du péché existe encore, comme si un enfant pouvait avoir commis un péché (une des pires conneries de l’enseignement religieux), la religion met au pilori toutes personnes qui a une notion du plaisir plutôt que de ressentir le besoin de contrôler les naissances et le pouvoir. Chaque enfant est une promesse de revenus futurs pour les religions. On a oublié qu’il faut se penser supérieurs à tous ces pécheurs accros à la sexualité.
Habitués à mépriser les femmes, les dirigeants de l’Église ne comprennent pas dans quel enfer ils font vivre leurs brebis qui ont le malheur de bêler autrement que les autres. La lutte des féminounes fait davantage ressortir les contradictions de l’Église. Prêcher le péché est loin d’être aussi réaliste que d’avoir sa propre sexualité et l’assumer.
On dirait que les religions judéo-chrétiennes sont trop épaisses pour comprendre que la génitalité, ce n’est pas que la pénétration. La sexualité c’est aussi la tendresse. La nature préfère les rapports sexuels au célibat.
Dans le célibat, l’amour a soi-même ne peut que créer le besoin un jour de ressentir le plaisir partagé de la masturbation, tout au moins. Le célibat est contre-nature. Et, la nature reprend ses droits, d’où tous ces écarts contre la morale de sa propre vocation.
C’est impossible d’en être autrement parce que l’Église a toujours condamné la matière, mais aujourd’hui, tout le monde sait que l’esprit ne pourrait pas exister sans la matière, car il en est une de ses manifestations… En ce sens, la science rattrape la religion.
23 Mai 2010
BONNE FÊTE DES PATRIOTES !
Une petite pensée pour nous rappeler que l’idée de l’indépendance du Québec n’est pas nouvelle. Le 28 février 1838, lorsque Robert Nelson lit la déclaration de l’indépendance de la République du Bas-Canada, on y trouve les principes de base de la démocratie puisque le Bas-Canada «doit prendre la forme d’un gouvernement républicain » et que « toute union entre l’Église et l’État est déclarée abolie». Mais entre l’idée démocratique et sa conquête, il y aura un long chemin à parcourir. (Jacques La coursière).
24 Mai 2010
Harper est un dangereux dictateur.
Le gouvernement de Steven Harper veut mettre en place une équipe de surveillance des conversations sur internet de manière à pouvoir rétablir «sa vérité», tout comme il veut éliminer les témoignages des employés de l’État contre le gouvernement.
Ce type est fondamentalement aussi dangereux que la Gestapo. Avec ses nouvelles lois fascistes, il nous entraîne tranquillement vers une dictature morale, ce qui est encore plus insidieux, mais plus dangereux, que les toutes autres dictatures, car il suffit de pousser le pouvoir policier ou militaire pour décréter ce qui est bien de penser ou non.
Il est urgent que la population comprenne que les fascistes de Stephen Harper sont de la même famille que les Républicains américains. Harper est de la même étoffe que George Bush.
Malheureusement, devenu minoritaire plus que jamais, la voix du Québec n’a pas sa place au Canada. Le Québec est une dépense inutile.
C’est d’autant plus vrai qu’Ignatieff s’est embourbé dans un rejet du Québec qui fait de lui l’intellectuel le plus mal chaussé que je connaisse. Si celui-ci avait eu l’intelligence de s’appuyer sur le Québec plutôt que de cracher dessus, il serait déjà au pouvoir. Ou il ne vécut pas assez longtemps au Québec pour comprendre ou il est très faible en politique.
À la prochaine élection, puisque Conservateurs et Libéraux c’est la même chose, la seule façon de faire comprendre au Canada qu’on est toujours là est de voter en Bloc pour le BLOC.
Aucun candidat-député des partis fédérastes (conservateurs-libéraux) ne devraient être élus pour représenter un territoire québécois. Ceux qui ne peuvent absolument pas voter BLOC devraient avoir l’intelligence de voter NPD. C’est le seul moyen de faire comprendre au Canada notre différence fondamentale de point de vue. Le Canada ne veut rien savoir du Québec. Qu’on cesse de croire qu’on peut le réformer de manière à y être respecté.
On est devenu tellement monétaire, tellement rien au sein du Canada que notre vote ne changera pas grand-chose, mais au moins il exprimera notre profond dégoût pour la dictature.
Non seulement l’Alberta veut faire éliminer la péréquation, mais l’Ontario veut concentrer les valeurs immobilières à Toronto. Il serait temps qu’on réclame les intérêts de l’apport du Bas-Canada dans le paiement de la dette du Haut-Canada, ce qui nous rapporterait actuellement plusieurs milliards de dollars (20, je crois) ?
Faudra-t-il nous plumer de nos pouvoirs jusqu’à ce qu’on soit absolument dénudés, ou s’il nous faut comprendre avant l’urgence de faire notre indépendance.
Cet après-midi, c’est la grande marche pour rendre hommage aux Patriotes de 1837-1839. Inutile de dire que j’en serai. Les Patriotes nous ont indiqué le chemin de la dignité et du respect de soi, en exigeant un gouvernement responsable.
Bonne fête des Patriotes.
28 Mai 2010
Épilogue de Spirale intraprojective sur Nipox.
Comme par hasard, j’ai appris le kidnapping de Mathieu par la police, le jour même des premières fêtes de la Saint-Jean en 1996 (fête officielle du Québec), après le vol du référendum sur l’indépendance du Québec.
J’ai vraiment cru et je crois encore qu’il s’agissait d’un piège politique. Une punition parce que j’étais très engagé pour le OUI au référendum. Non seulement j’étais président de la Société nationale des Québécois, à Val-Or ; mais j’avais organisé des soirées d’information Les jeudis de l’indépendance. J’avais payé des annonces publicitaires avec l’aide du député Pelletier, du PQ, et je faisais parvenir des questions embarrassantes pour le NON à Radio-Canada. De plus, le maire de Val-d’Or était président du Comité du NON.
Le père de Mathieu est arrivé en pleurs aux manifestations de la Saint-Jean. La police était venue chez lui chercher Mathieu et sa petite sœur, sous prétexte que la maison était assez malpropre pour représenter un danger. C’est vrai qu’elle l’était, mais pas à ce point. Le papa laissait s’accumuler le linge sale, question d’amener Mathieu à comprendre qu’il devait l’aider.
Il faut dire aussi que celui-ci livrait un procès à son épouse mormone pour la garde des enfants. Sa petite sœur devait vivre avec la mère et Mathieu avait choisi, puisqu’il était assez vieux, de vivre avec son père.
Quand son impatience débordait, il m’amenait Mathieu et menaçait de me le laisser. Après négociations, Mathieu retournait chez lui. Pour mieux lui faire comprendre, le danger de ne pas écouter son père, je l’avais même amené à une assemblée du comité de défense des prisonniers adolescents dans un centre de réhabilitons pour les jeunes, car je voulais que Mathieu sache qu’il avait tort de prétendre qu’il serait mieux comme détenu que chez son père.
J’aurais bien aimé lui faire comprendre aussi qu’il y a du plaisir à travailler, une fierté qu’on ne retrouve pas dans la paresse.
Quand Mathieu avait respecté ses engagements envers son père, il avait le droit de venir chez moi et de bénéficier d’une récompense dont je défrayais le coût : aller au cinéma, aller jouer aux quilles, etc. Je m’étais de plus en plus attaché à lui, je l’avoue.
Malgré les efforts, on interdit aux jeunes Mathieu et sa sœur d’avoir accès à son père. Nous avons envoyé une lettre de protestation aux autorités et le papa put rencontrer Mathieu parce que cet interdit était illégal, car il n’avait pas été autorisé par la DPJ.
Nous avons déposé une plainte officielle contre cette arrestation illégale. Le lundi, je n’avais encore rien à faire dans le portrait, puis, à force de l’interroger, on monta deux dossiers contre moi. Un deux pour un…
La police procéda à une perquisition chez moi, car j’étais parti en voyage. J’étais convaincu que tout ça tournerait en queue de poisson. C’était mal connaître l’obsession phallique et pédophile de notre société.
La police saisit 52 photos, aucune n’était pornographique, ainsi que des vidéos : les deux soirées de poésie à Montréal et le film « La société des poètes disparus». On cherchait mon poème « Beau garçon » dont la police avait connu l’existence grâce au père de Mathieu. Je lui avais lu, car j’en étais très fier. D’autre part, j’avais remis une lettre à M. Ménard, ministre de la Sécurité, sur la loi antigang, à la suite de la mort du petit Daniel Desrochers. J’y disais que notre société est meilleure pour protéger les pénis que les cerveaux de nos jeunes.
Si on enlève l’aspect politique, c’est quand même une preuve de plus que notre société se conduit exactement devant le mot «pédophile» comme le faisait l’Inquisition et Hitler.
Pour la société, l’amour des garçons est condamnable, sans même qu’on sache pourquoi. On nie même l’évidence du fait que les jeunes ont une sexualité. On les brime de leur droit, les enfants ne sont rien dans notre monde. Ils doivent seulement obéir à ce que les adultes croient. Et, les adultes ont peur de la pédophilie, car ils ne savent pas ce que ça signifie. On essaie même de faire croire que la pédérastie n’a pas existé dans la Grèce antique au temps de Platon.
En poursuivant les pédophiles non violents jusqu’à leur mort, la société est devenue un bourreau pour des gens qui n’ont qu’une seule chose à se reprocher: aimer les enfants différemment. Être pédéraste.
Pourtant, personne ne peut justifier cette obsession de surprotection quand il n’y a pas de violence ou de domination, sinon par la paranoïa que les média maintiennent. On impose une chasteté contre-nature, une haine de tout ce qui est mâle, surtout, de tout ce qui est gai.
On a si peu le sens de justice sociale et si peu le respect de la vérité que l’on ne fait même pas la distinction entre la pédophilie et la pédérastie. Un interdit : Tabou. Indiscutable. Contre-nature. On prétend même le contraire de la réalité à l’effet que l’humain est un être qui a une vie sexuelle de la naissance à sa mort.
On en fait un objet de croisade, oubliant que le pire ennemi des jeunes n’est pas de jouir sexuellement, mais la violence, les drogues et le décrochage scolaire.
Le jour où on s’occupera vraiment du bien des jeunes on se souciera davantage de les protéger des dangers qui peuvent en faire des légumes. Mais, notre société perdrait trop d’argent pour faire ce virage. Les drogues rapportent des milliards.
Je suis de ceux qui sont contre la pédophilie, même si je suis pédéraste, simplement parce dans le cas de la pédophilie, je ne comprends pas ce désir et je ne suis pas certain que ce ne soit pas dommageable pour l’enfant, même si des sociétés ont prouvé que des enfants caressés se portent émotivement mieux quand ils vieillissent.
Dans les sociétés ouvertes à la sexualité des enfants, il n’y a pas de suicides alors que dans nos sociétés le nombre est effrayant à l’adolescence, ce qui prouve que l’identification sexuelle peut être un drame affreux à cet âge parce que la société ne prend nullement en compte la réalité sexuelle des enfants, mais l’interdit qui nous vient des religions à travers l’histoire.
Serait-ce qu’on aurait développé une tradition de la bêtise, basée sur l’ignorance, quand il est question de sexe ? Un interdit qui détruit le développement de l’autonomie des enfants ?
29 Mai 2010
Une étude intéressante sur la pédérastie.
Même si cette étude condamne pédérastie et pédophilie, elle a le mérite de nous interpeler à savoir si cette condamnation éternelle est justifiée.
Je me permets d’écrire le lien pour la consulter :
https://papyrus.bib.umontreal.ca/jspui/bitstream/1866/3605/2/Ducharme_Marie-Eve_2009_m%c3%a9moire.pdf
Je n’ai malheureusement pas obtenu la permission pour réécrire ce texte sur mon carnet puisque je ne la connais pas. C’est un premier livre sur le sujet, tout comme le livre Olivier, de Mme Fontaine. Des outils de réflexion intéressants.
Il s’agit de textes qui resituent en partie la réalité dans sa vérité.
À partir de cette étude, on doit se demander si la pédérastie et la pédophilie ne sont pas victimes de ce que l’on appelle en scénarisation au cinéma « le point de vue », c’est-à-dire l’angle avec lequel on voit une situation, angle qui définit notre lecture de tout ce qui se déroule ensuite.
Sur le plan judiciaire, mon ami, ex-policier Pierre Faucher, appelait ça une «loi préjugé», c’est-à-dire que cette loi est si intensément intégrée dans la culture des gens que rien ne peut la remettre en question. Elle est là, on ne sait pas si ça a du sens, mais elle est là et rien d’autre.
Toute notre civilisation nie l’existence de la sexualité chez les enfants, malgré les découvertes scientifiques qui prouvent le contraire, mais toutes nos lois découlent de cette vision intouchable.
Puisque tout est condamné en partant, rien ne peut altérer le jugement que l’on s’en fait. En d’autres mots, à partir de ce texte on peut se demander si le pré requis ou les pré-intentions sont réellement justifiés et justifiables.
La tradition fait en sorte que l’on ne remette jamais en question cette condamnation initiale. Même si les connaissances actuelles prouvent que ce point de vue qui détermine notre jugement, notre condamnation, est un excès d’ignorance quant à la vraie nature humaine pour protéger le pouvoir de la société sur l’individu.
Malheureusement, Mme Ducharme s’en tient au premier livre d’Alain Foucault sur le domaine. Les deux autres démontrent encore plus clairement que notre société a créé des lois à partir d’une méconnaissance de l’homme justifiable il y a des milliers d’années, mais pu aujourd’hui.
Les féministes ne retiennent que ce qui fait leur affaire. Vérité ou pas.
29 Mai 2010
Spirale intraprojective sur Nipox.
Je n’ai pas écrit Spirale intraprojective parce que j’ai été condamné.
Dans ma petite tête, c’est très clair, que si je n’obéis pas aux règles de la société, même si elles sont complètement débiles, je ne peux pas m’attendre à de la compréhension. Je vis l’Inquisition en 2010. Je dois assumer mes choix. Je n’ai pas à plaider coupable puisque j’en ai déjà payé le prix.
Je ne voulais pas non plus pleurer sur mon sort. Je suis trop politisé pour croire que cette situation ne rejoint pas mon engagement politique envers l’Indépendance du Québec.
Je voulais dénoncer cette méthode employée pour me faire taire, comme si le fait d’être pédéraste nous empêchait de réfléchir à autre chose qu’à notre petit pénis et nous enlevait le droit d’être politisé.
Les fascistes condamnent, méprisent tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Qu’ils réfléchissent, c’est croire aux miracles. Donc, je suis pédéraste et le fait d’en parler justifie leur devoir de m’écraser, car, c’est un sujet tabou. En soi, de la prison pour vivre ce que tu crois, n’a rien de déshonorant. Pierre-Elliot Trudeau disait : qu’il ne faut pas obéir aux lois qui sont contraires à ta conscience.
La raison pour laquelle j’ai écrit ce livre d’abord sous le titre Voyage au bout de ma folie était tout simplement de dénoncer la situation politique parce que je croyais et je crois encore, même si cela a moins d’importance, que c’était une condamnation politique. Un moyen de me fermer la gueule.
Je voulais montrer la saleté de notre système qui se prétend juste. Je voulais faire connaître mon côté de la médaille. La sexualité est ce qu’il y a de plus politique. Il s’agit d’une majorité qui impose sa morale unique aux autres. Mon écriture est un moyen de transcender la censure.
Je ne suis pas très fier de la qualité de ce livre, car j’ai voulu écrire comme le nouveau roman, tout en facilitant la lecture et les choix en introduisant des « * » qui permettent de connaître d’avance le sujet. Je retravaillerai ce texte autrement, car je pense que le fond mérite que je le recommence de manière à le rendre plus vivant, plus digérable.
Là, où la société est perverse, c’est l’intensité avec laquelle elle t’oblige à vivre contre nature. Depuis, je n’ai pas le droit de faire la seule chose que j’adore et que je réussis bien : enseigner, même si on s’arrache les cheveux pour trouver du personnel. On engage même des gens qui n’ont aucune qualification, comme si l’ignorance était moins dangereuse que la pédérastie. J’ai une maîtrise et j’étais bon professeur. J.ai enseigné 15 ans sans que l’on puisse me reprocher quoique ce soit sur le plan sexuel. Ce que je vivais en dehors ne regarde que moi.
Il me semble qu’avoir enseigné 15 ans, sans qu’on puisse me reprocher quoique ce soit, me donnait le droit de continuer de servir mon pays. Mais, on préfère protéger les pénis que les cerveaux. On préfère des jeunes qui se suicident plutôt que de leur apprendre à s’accepter comme ils sont.
Le prochain texte sur ce blog http://jeansimoneau.nipox.com. sera une pièce de théâtre ou un film. Je ne sais pas si j’arriverai à en faire la mise en page puisqu’une fois écrit la présentation est différente.
Au début, j’ai appelé ça Les puces ; puis, puisqu’il s’agissait du travail principal pour avoir mon certificat en scénarisation. Je l’ai complété et j’ai appelé ça : Mon pays : ma liberté. J’ai apporté des modifications qui à mon sens rendent le texte moins intéressant.
Sur mon autre blog, je transcris un livre d’essai politique publié en 1991, intitulé Le temps d’agir. Il est aussi possible de lire mes poèmes et certaines nouvelles littéraires sur ma page à http://jeansimoneau.com.
À cause des fautes laissées quand je réécrivais mes livres, je me dois de les corriger avant de pouvoir les remettre en circulation, ce que je ferai en ayant une nouvelle page sur internet Les éditions du temps, Québec. Je ne sais pas quand, puisque je suis trop pauvre pour pouvoir me payer un ou une correctrice et ainsi avoir du temps pour des recherches et de nouvelles créations… Mais ça viendra.