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Radioactif 574

décembre 4, 2022

Radioactif 574

21 Janvier 2010, p. 1300/1708

Les partis politiques : une notion dépassée ?        

Les différences fondamentales entre un Québec indépendant et un Québec fédéraste sont les dédoublements des ministères et surtout l’incapacité de se servir de nos impôts et de nos taxes comme on en a besoin, car les priorités d’Ottawa sont loin d’être celles du Québec.       

Actuellement, à cause de notre participation au système économique capitaliste, nous nous retrouvons dans une impasse financière parce que les gros ont décidé qu’il leur fallait plus d’argent et ont provoqué une crise (fraude) mondiale car, comme toujours, le seul moyen d’y parvenir est de saigner les plus pauvres, en enlevant les services, faute d’avoir assez de couilles pour augmenter les impôts de ceux qui pourraient payer.    

Plus la structure économique du Québec est fonction des multinationales, plus le Québec est chancelant, car celles-ci peuvent facilement déménager et nous laisser le problème de la création d’emplois et de l’augmentation du PIB. 

Ainsi, Jean Charest surf encore sur ses mensonges de la dernière campagne électorale. On s’entend que c’est très bien de s’interroger sur l’avenir économique du Québec ; mais la partisannerie de cet exercice est à rendre malade. 

Le besoin de retrouver un équilibre budgétaire n’est pas une grand-messe, mais une nécessité si on veut profiter de la fin de la crise.  Blâmer le PQ, d’avoir coupé en fou pour échapper au déficit, fin des années 1990, c’est facile.  Que fait-il maintenant pour remettre le Québec sur pied ?  Où va-t-il chercher les argents?  C’est facile de jouer au matamore, mais la réalité est que nous vivons dans un système de voleurs où tout est argent.  God is money.      

Qu’est-ce qu’il fera pour rendre un retour au travail des personnes de 65 et plus intéressant ?  Le problème est qu’à cet âge, ce retour doit être individuel, selon la réalité de chacun et les possibilités de ceux-ci.  Travailler, pour moins ou parce qu’on n’a pas le choix, je ne pense pas que ce sera très populaire.  Il faudra avoir assez d’imagination pour ne pas avoir de règles mur à mur. 

Dans une crise, les grands discours strictement partisans n’ont pas leur place.  Faudrait-il commencer à revoir la notion de parti politique pour que cesse ces enfantillages et que l’administration ne soit pas seulement de passer devant les caméras pour endormir les gens ?   


22 Janvier 2010

Des gouvernements régionaux.          

On doit repenser nos institutions politiques de manière à être plus efficaces, plus près des gens, particulièrement, en ce qui concerne à la planification à moyen et long terme. 
 
Quand j’ai commencé comme journaliste à la Tribune, la première chose qui m’a révolté était l’indifférence totale qui existait pour nous à Ottawa.  C’était comme si nous n’existions pas. 

C’est exactement ce qui se passerait d’ailleurs si on n’avait pas le Bloc Québécois, même si on nous dit que ce parti ne nous apporte rien.  Il rappelle au reste du Canada qu’il y a le Québec et qu’il peut devenir un pays.  

Le Canada ne nous écoute que s’il croit que le Québec va vraiment se séparer.  Regardez toutes les promesses faites lors des référendums et oubliées dès le lendemain quand les Québécois redeviennent des petits moutons.  Ce n’est pas parce que nous avons un ministre chez -nous qu’il s’occupe de nous.  Il est pris dans la grande machine nationale et la solidarité de parti. J’ai connu ça avec l’aéroport international de Drummondville.  On avait même un ministre de Trudeau à Drummondville, Smiley Pépin.  Il a fallu une manifestation pour qu’il s’aperçoive que Drummondville c’était dans le comté de Drummond. 

Il faut aussi prendre conscience que l’argent que l’on dépense (facile de se faire vivre avec la carte de crédit du Québec ou du Canada) peut nous priver d’un service beaucoup plus utile à l’ensemble de la population. 

En ce sens, il faut une enquête publique sur la construction.  Pourquoi faut-il payer jusqu’à 35% de plus pour les travaux parce qu’il y a collusion ?  Plus nos politiciens se font dorer la pilule, plus ils oublient que la très grande majorité des gens ne vivent pas selon leurs moyens.  La politique devient une carrière.  Et, on s’organise pour que la carrière dure le plus longtemps possible.  Pourquoi un député a-t-il une pension à 100% à vie après 8 ans ?  Quel travailleur a cet avantage ?  Comment peuvent-ils comprendre les plus pauvres quand ils se créent un cocon ou une classe bourgeoise, donc, un environnement qui leur demande de vivre comme des pachas ou en ne pensant qu’à leur petit statut social ?  Pourquoi faut-il refaire les bureaux à chaque fois que le gouvernement change ?  

L’esprit, la tradition, d’avoir des partis politiques qui s’affrontent peut nous apporter quelque chose pour les élections, dans le sens de créer un projet global pour la société ; mais ça nous prive des services de celui qui est très compétent, mais qui vit dans l’opposition, après les élections.             

Même si c’est pour le bien du Québec, ce sera un miracle d’avoir un parti qui modifiera notre mode de scrutin pour créer des élections selon un mode proportionnel.  Qu’attend-on pour créer un mode de décentralisation et de déconcentration en faveur des régions ? Une révision des pouvoirs et de la distribution de l’argent ?   

Au lieu d’avoir un lieutenant-gouverneur qui nous coûte une fortune et qui a la tête assez enflée pour se croire au-dessus des lois, ils serait temps qu’on abolisse toute référence à la royauté au Québec.  Ottawa n’aime pas ça, dans le cul Ottawa.  On ne fait pas partie de la constitution canadienne.           

Qu’on arrête de nous faire croire qu’il faut vivre selon un état de loi canadien.  La loi, c’est notre parlement au Québec qui doit la faire et non obéir à une loi constitutionnelle coloniale. Que l’on n’a même pas signée.   Le fédéral ne peut quand même pas mettre tous nos députés en prison parce qu’on lui dit que chez-nous on ne veut rien savoir de la monarchie.  Si Ottawa y tient tant qu’il s’occupe des dépenses occasionnées par le poste.  Un lieutenant -gouverneur qui n’a pas accès au parlement ça pas grand pouvoir.        

Nos députés sont une bande de moutons.  On le voit avec les accommodements culturels. On devrait simplement dire aux religieux qu’au Québec, il y a de la religion chez toi et dans le temple de ta religion.  Point à la ligne.  Vivre et laisser vivre.   Actuellement, les religions servent à nous faire accepter les règles de ceux qui nous oppriment.  Le Québec est un état neutre, laïc.     

Les partis peuvent aider à penser de bons programmes. Mais, comme on l’a vite constaté, avoir un programme avant des élections est une chose, le réaliser en est une autre.       

Ce que je déteste dans notre système, c’est que cette rivalité de parti continue après des élections.  L’opposition devrait critiquer, dénoncer, mais aussi chercher à améliorer les choses lorsque les projets présentés sont bons pour le peuple. .  Pourquoi l’opposition n’est-elle pas là pour améliorer les choses ? Pourquoi le parti au pouvoir ne pourrait-il pas saluer ce que l’opposition présente de bon. C’est vrai que pour cela faudrait avoir un gouvernement moins menteur et manipulateur, capable de saisir ce qui est vraiment bon pour les gens.   

Les membres du gouvernement au pouvoir devraient être tenus de dire la vérité et être destitués quand ils nous mentent pour mieux nous manipuler.   On serait déjà en élections.  La malhonnêteté intellectuelle semble faire partie de nos mœurs.

La politique n’est pas qu’un jeu, elle peut modifier fondamentalement la vie des gens.  Par exemple, la pension de vieillesse (Ce n’est pas mon cas particulier, même si je suis rendu là).   Si le coût de la vie augmente sans cesse, mais que ta pension ne suit pas, ton pouvoir d’achat, ta qualité de vie diminue. Comment s’assurer que les gens pourront demeurer autonomes le plus longtemps possible? 

Le bénévolat, c’est très beau, mais ça ne règle pas tout.  Le principal problème quand t’es plus vieux, c’est la solitude.  C’est d’ailleurs pour cette raison que la vie de couple a pris autant d’importance.  Il n’y a pas que la procréation.              

Pour cela, le gouvernement devrait créer des mesures fiscales qui permettent aux gens de vivre en couple ou en colocation afin d’éliminer la création d’une économie de petits-vieux qui est appelée à disparaître après les baby-boomers.  Ceux qui prétendent que les revenus moyens familiaux sont de 60,000$, je me demande où ils prennent leurs statistiques.  Que fait-on de ceux qui vivent seuls(es) ?            

Pourquoi nous avoir prêché la zoothérapie alors que tous les établissements pour personnes âgées refusent que l’on ait notre animal ?  La piastre est-elle plus importante que le bien-être des gens ?  Ne devrait-on pas tenir compte de ce besoin chez les aînés plutôt que de penser aux crottes ou aux jappements? Pourquoi sommes-nous rendus aussi égoïstes ?      

Là où le bas blesse, dans notre système, c’est de devoir automatiquement être opposé quand on est dans l’opposition alors que nous avons besoin de toutes nos énergies pour assurer le mieux-être des gens ?  Comment peut-on revoir les institutions pour faire en sorte que le bien de la population soit la raison réelle d’exister des partis politiques ?   

Si on veut faire retravailler les vieux qui le pourraient, comme moi, il faudra que cette participation procure aussi des avantages ou du moins que tu ne sois pas pénalisé parce que tu retournes au travail. J’ai une maîtrise et je ne peux même pas faire de bénévolat à la Fondation de la bibliothèque Memphrémagog pour des raisons sexuelles. Comme si l’âge ne changerait pas ta sexualité.. Est-ce parce que le président est un ancien libéral déchu ?  Qu’est-ce que tu peux faire dans un monde ayant un esprit aussi paranoïaque ? 

23 Janvier 2010

Trop de partis politiques ?        

Plus je pense à l’idée d’abolir complètement les partis politiques sous prétexte que ça nous divise, moins je suis certain que ce soit la bonne réponse, quoiqu’il est possible d’envisager des changements de structures dans nos institutions politiques sans devenir un paria.              

Encore faut-il que nos institutions soient assez honnêtes pour être dignes de confiance.   Encore faut-il avoir l’esprit assez ouvert pour admettre que l’autre parti n’est pas que de la cochonnerie. Il faut cesser cette lutte d’enfant gâté : j’ai raison, donc, t’as tort.  Si je suis au pouvoir, je fais ce que je veux, si je suis dans l’opposition je ne suis là que pour chialer.  Ce n’est pas une lutte à savoir qui sera le plus fin ; mais qu’est-ce qui améliorera le plus la qualité de vie des citoyens ?     

Au Québec, les divisions idéologiques ne sont pas très nombreuses : le capitalisme doit-il être plus socialiste ?  Comment se protéger des multinationales qui sont encore plus riches que les états ?  Quel marché est le plus avantageux ?  

Le livre de Jacques Parizeau, La souveraineté est extra parce qu’il démontre clairement que si nous avions été indépendants, on aurait su mieux prévenir la crise (fraude)  économique qui vient de nous tomber dessus alors que les grandes instances préparent déjà la prochaine crise pour encore mieux s’enrichir. Sur le plan de l’alimentation, ne paierions-nous pas moins si nous achetions encore localement ?

L’autre choix fondamental est la culture.  Comment vivre dans une société qui respecte le droit à la différence de chaque individu ? Comment établir l’égalité entre les hommes et les femmes ?  Voulons-nous que le Québec soit un état français (le fédéral crée des règles qui garantissent notre assimilation), donc, peut-on survivre en français dans le Canada ?   Comment gérer la sexualité puisque c’est ce qui différencie le plus les individus ?  Est-ce que les religions peuvent nous laver le cerveau, en nous forçant à enseigner leur vision dans les écoles ?  Où est la ligne limite ?  Les religions, le sexe, le droit de penser différemment et à quel moment est-ce inacceptable pour les autres ? Quelle place laissons-nous à la violence ou au crime organisé ?      

Est-ce que l’exécutif (le cabinet) pourrait être choisi, lors des élections, en dehors des formations politiques ?  Est-ce qu’on pourrait voter entre deux candidatures au titre de ministre et de vraiment savoir qui est le meilleur ?  J’ai de la difficulté à pourvoir l’imaginer.  Par contre, ces nominations pourraient peut-être se faire au niveau d’une Assemblée nationale où la compétence est plus importante que le parti. 

Le choix du parti au pouvoir pourrait être simplement le choix de l’orientation que l’on veut prendre ou si l’on veut le choix du programme qui nous plaît le plus comme société.  Alors, l’Assemblée nationale pourrait choisir les personnes les plus aptes à réaliser ce programme.  Les députés et la Chambre régionale pourrait s’occuper de la réalisation dans les détails sur le terrain.   Voter des programmes plutôt que pour un député local ? Ou avoir le choix, lors des élections ?  Voter pour un programme et voter pour celui que l’on veut comme député dans sa circonscription pour réaliser le programme.   

Le programme d’un parti devrait être la feuille de route de l’objectif pour améliorer la vie du pays, d’où la différence qui pourrait exister entre ses membres.  Par exemple, la seule vraie différence entre un libéral et un péquiste est la séparation du Québec.  Personne ne préconise une vraie confédération, mais c’est un objectif aussi valable que les autres.  Celui des compromis.  Que ferons-nous quand il y aura un gouvernement mondial ? Comment pourrait-on y avoir une place et un mot à dire ?    

Les intérêts de l’Ouest sont-ils si incompatibles avec ceux de l’Est qu’ils sont irréconciliables ?  Les crises de jalousie du premier ministre de Terre-Neuve ne signifient-elles pas le rejet du Québec dans le Canada actuel ?  Peut-on vivre une économie qui soit profitable pour tous d’un océan à l’autre ou ne serions-nous pas mieux en étant notre propre pays, sans dédoublement, mais sans péréquation ?  Pourquoi les libéraux et les péquistes ne peuvent-ils pas s’entendre sur l’honnêteté des chiffres qui nous sont fournis quant à l’indépendance : après tout c’est de notre qualité de vie qui en dépend.  Là, on se demande souvent qui est le plus menteur ?  Qui a engagé les plus «grosses bols» pour nous manipuler.       

Qu’est-ce que ça changerait quant au lobby ?  Ça le faciliterait ?  Le pire poison dans notre système est la capacité d’acheter tous ceux qui se présentent en politique.  Les entreprises ne devraient pas avoir le droit de financer les partis politiques.  Pas un sou.  Cependant, on devrait fixer une limite dans les dons aux partis même chez les individus et pouvoir ainsi s’assurer que ce n’est pas un moyen utilisé par les entreprises pour obtenir ce qu’elles veulent.  Le plus grand défi de nos institutions est de devenir honnêtes.    

Qu’on le veuille ou non, nos réflexions doivent partir du fait que nous vivons dans un système capitaliste devenu une véritable mafia mondiale.  Comment protéger les pays contre les lobbys ?  Comment s’assurer d’avoir des représentants honnêtes?          

ll y a une différence fondamentale entre avoir des partis politiques et en avoir de trop.  Faut-il créer un nouveau parti à chaque fois qu’il y a une virgule différente dans un programme ?  À combien de membres un parti politique devrait-il avoir le droit aux subventions de l’état ?  Est-il possible de changer quoi que ce soit si on n’a pas d’argent ?  C’est ce qu’on croyait quand nous étions jeunes, mais nous nous sommes aperçus que le système est beaucoup plus complexe qu’on ne le croyait.  Beaucoup plus croche aussi.          

Le droit à une association ou un parti est fondamental pour la démocratie, même si ça ne garantit pas la justice entre les individus qui pensent différemment. Ignatieff là-dessus à raison : les droits existent pour protéger les individus contre les institutions. Si un parti devient trop orthodoxe, que tu n’as pas droit de ne pas être d’accord avec tout ce qui se dit, tu deviens vite borné.  C’est ce qui s’était passé dans le parti libéral quand j’ai dû le quitter, car on mettait dehors celui qui se battait pour des changements de fond et non seulement superficiel, René Lévesque.   

Je croyais, à cause de la bureaucratie, qu’un pays suit sa route quel que soit le parti au pouvoir, mais quand on regarde aux États-Unis la différence fondamentale entre les Démocrates et les Républicains, je dirais plus entre Obama et Bush, on voit que la présence de l’un ou l’autre scelle notre destin.  Et, la plus grande différence est la façon de gérer l’économie.  Tout passe par l’argent. 

25 Janvier 2010

Le Québec doit accompagner Haïti.   

Avec le séisme à Haïti, on voit nettement la différence d’approche entre le Québec et les États-Unis.  Nous respectons et nous trouvons même essentiel de se joindre aux autorités d’Haïti pour rebâtir ce pays dévasté alors que les États-Unis prennent nettement le contrôle.          

Deux façons de voir dont il est important de saisir la différence.  Pas question de blâmer les Américains pour ce qu’ils ont fait jusqu’à date, mais on se demande comment il se fait qu’après tant de temps, on n’a pas encore réussi à s’occuper de la population comme s’il n’y avait que la sécurité qui compte.  Si tu es condamné à mourir de faim, tu seras définitivement plus agressif.   Même s’il est évident que ceux qui aident ne peuvent pas risquer de se retrouver entre les mains de petits bandits, les gens qui y arrivent doivent, je crois, commencer à reconstruire le pays, mais à partir d’en dehors de Port-au-Prince, qui devrait être laissé à ceux qui peuvent nettoyer.          

Par contre, mon frère Roland, qui y ait allé travailler, apporte un autre son de cloche : Haïti est quasi inaccessible depuis la tragédie.  Ils avaient à peine des infrastructures et ils en ont encore moins.  Il faut de la place pour faire atterrir un avion, des ports pour recevoir les navires.  Ils ont écopé eux aussi et l’aéroport était déjà trop petit.       

Il me ferait plaisir d’aller aider, mais pour cela, il faut un visa j’imagine, ce que je n’aurai pas parce que je n’ai pas encore eu mon pardon.  On préfère la misère à la coopération.  Mourir, mais mourir chaste.   On doit agir exactement selon toutes les règles du jeu, même si ces règles sont parfois tellement stupides.  On peut dire que l’homme était plus évolué il y a des siècles qu’il l’est maintenant, du moins, en ce qui concerne les règles de la sexualité.      

C’est un affront qui revient souvent puisque qu’en m’ayant planté le dard de l’accusation dans la gorge, le lendemain du référendum, on m’empêche maintenant de réaliser n’importe quel projet.  Je suis un zombie !        

On essaie de créer un tel état d’endettement du gouvernement du Québec qu’il ne sera plus possible de devenir un pays ; c’est identique avec ce que l’on me fait subir.  On me rend si pauvre que je ne peux même pas aider.   Je pense que mon expérience vaut plus que de toujours être refoulé à cause d’ « un coup monté politique » il y a déjà près de 15 ans.        

La mafia mondiale, c’est le système.  Ces règles sont là pour protéger le petit gang-circuit qui dirige le monde.  Il ne serait pas étonnant que les États-Unis se retirent vite d’Haïti, car ce pays n’a pas assez de richesses naturelles pour l’attirer.  On verra bien…    

J’espère que les Haïtiens d’ici comprendront la nécessité de la langue de communication à la suite de cette expérience, d’où notre rapport privilégié avec eux.  Ils sont plus près de nous que les Canadiens.

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