Aller au contenu principal

Radioactif 552

novembre 12, 2022

Radioactif 552

24 Octobre 2009

La liberté sexuelle. 2.       

Dans un premier temps, Foucault essaie de nous replacer dans la pensée de la philosophie de la répression sexuelle.  Il résume sa façon d’interpréter la théorie de la répression ainsi :  » Le puritanisme moderne aurait imposé son triple décret : l’interdiction, l’inexistence et le mutisme.  »  Ce qu’il nie, tout en le niant pas.  Cela n’apporte pas d’ailleurs, à mon sens, un changement majeur sur le fond, mais simplement une note de discordance quant au  » comment la répression » s’est installée, ce qui l’a fait naître et la nourrit.  Sans la bourgeoisie, la religion n’aurait jamais pu seule imposer l’abstinence sexuelle.  

Selon Foucault, la répression sexuelle n’a pas été d’abord un phénomène de masse, mais le lot de la bourgeoisie
.  Une réalité spécifique à la classe sociale bourgeoise qui s’est définie en fonction des normes sociales pour s’assurer d’avoir une bonne vie et une bonne descendance.  La répression, selon lui, n’est pas née d’un interdit, mais plutôt d’une saturation d’intérêt pour le sexe et son secret.  Un intérêt qui a donné naissance à des normes de vie spécifique aux bourgeois, qui, ont dû l’appliquer par la suite à la masse pour se protéger. Ça me semble absolument cohérent et plausible. 

La répression sexuelle a proliféré chez les bourgeois avant d’être étendue à la masse.  Qu’importe ! Le résultat est le même : ou on maudit le sexe, on le diabolise ou on le sacralise jusqu’au point de s’en priver. Mais, d’une manière ou d’une autre, on l’interdit, on l’écrase, au nom d’un pseudo code de vie spécifique à ceux qui sont de classe bien-pensante, voire bourgeoise. Le cancer de la répression s’étend de la religion à la bourgeoisie.  L’ascétisme demeure plus que jamais l’ennemi numéro du plaisir.  Pas étonnant que la répression sexuelle soit une voie en or pour la schizophrénie ou la paranoïa;   mais de ça, nos médecins ne nous en parleront peu.   L’abstinence rend tellement malade que l’on n’est quand même pas pour tuer la vache à lait.  

Un élément est accepté par tous, jusqu’au 17è siècle, la masse vivait une sexualité libre, à tous les âges.  Dans cette masse, un petit précoce n’allumait que des sourires et non les feux de l’enfer.  La masse se fichait carrément des règles sexuelles religieuses, car on n’en entendait pas parler.  Le sexe et son obsession était le discours de l’élite.

Je suis d’accord avec Foucault à ce niveau.  La religion atteignait davantage la bourgeoisie, car elle était « l’oreille et la bouche », de l’aristocratie.  La bourgeoisie devait être une classe qui essayait de performer le plus et le mieux possible, de séduire, pour retenir l’attention du roi (et de tout ce que cela signifiait de privilèges).

Selon les tenants de la répression, celle-ci fonctionne comme une condamnation à disparaître (le sexe).   Dans ce contexte, en parler est déjà une transgression. Or, dans la masse, on est libre, donc, on n’a pas à obéir à un code de vie particulier et aucune raison d’en parler.  On apprend la sexualité comme je l’ai appris : sur le tas.    

Mais alors, comment et pourquoi s’est implantée la répression sexuelle ?   

C’est une façon un peu simpliste de lire la théorie de la répression.  L’analyse, l’explication de ceux qui croient dans cette théorie se base, tout autant que Foucault, sur l’histoire pour expliquer pourquoi on a encore autant et si peur du sexe. D’où nous vient cet acharnement à ne pas reconnaître les valeurs du sexe, cette peur d’être sali, en étant un être sexué. Être sexué est tout à fait normal et naturel.   

L’Homme est un animal sexué. Avec ou sans cours, il trouvera comment se donner du plaisir, autrement, c’est un imbécile.     

Évidemment, c’est le résultat d’une tradition ascétique et monastique qui pourrira les oreilles et le coeur des bourgeois  grâce à la peur, entretenue par la confession et les examens de conscience.  (Je suis content d’avoir senti cette vérité en écrivant mes carnets), Puis, grâce au désir d’échapper à une mort précoce comme la plèbe, on a créé un code de vie.  Puisqu’on ne peut pas anéantir la bête on a décidé de lui mettre une muselière. Dès l’école, et surtout, à l’école.

 Selon Van Husserl, dans Histoire de la répression sexuelle, la répression sexuelle s’est surtout développée sous l’ère de la reine Victoria et aurait été structurée sous l’effet conjugué de la religion et de la bourgeoisie.  Une question de pouvoir et de gros sous.  Plus tard, la médecine a institué tout une                  « économie » autour de la sexualité.  Tout pour empêcher le jeune d’être sexué. Des biscuits anti-bandants jusqu’à la « percée du prépuce » pour tuer l’envie de se masturber la nuit ou de bander le matin.   Ces instruments étaient infligés aux jeunes garçons.

Là, est toute la différence entre Van Husserl et Wilhem Reich. Ce dernier   croyait à la répression sexuelle à l’école.  Selon Husserl  l’Église et les bourgeois ont implanté de force par ses règles la répression sexuelle alors que selon Foucault, c’est pour la survivance de la bourgeoisie, son intérêt quasi maladif du sexe et son secret qui a entraîné la création de normes  Ces normes ont dû être ensuite appliqués à la masse pour faire face aux conditions de vie, aux problèmes sociaux. Non pas pour forcer la masse à croire dans la répression nécessaire du sexe, mais pour se protéger comme classe sociale contre un nombre de plus en plus grand et capable tout autant de conduire une épidémie qu’une révolution.       

À mon avis, les deux ont raison.  La théorie de la répression voit le phénomène du point de vue de la masse, de son intérieur, avec les gens du peuple ; alors que Foucault nous présente le point de vue de l’intérieur aussi, mais cette fois, celui de la bourgeoisie.  Question de focus.    

Évidemment, c’est une façon de comprendre ce qui s’est passé et je ne crois pas que ça contredise la théorie de Foucault qui croit au contraire que la sexualité est devenue le centre de l’univers humain parce qu’on l’a étudié, on l’a analysé et on a créé tout un mode de vie pour protéger les bourgeois, qui s’étaient créés une façon de vivre « leur sexualité », selon les enseignements religieux.  Une classe différente de l’aristocratie.            

Les bourgeois croyaient dans leur valeur individuelle. Ils ont créé une classe pour se protéger de la mort qui arrivait avec la peste, etc. La bourgeoisie est un système de protection, comme les vaccins au service de l’aristocratie.  Pour se protéger, on devait s’éloigner de la masse, se doter d’une façon de vivre plus saine.  Si c’est vrai, la bourgeoisie nous a fait évoluer, son problème est qu’elle est devenue trop pointilleuse, trop tête enflée.Comme aujourd’hui, on est étouffé par le « politically correct », le monde des  wokes.      

Les aristocrates avaient basé leur réalité sur le sang alors que les bourgeois se sont identifiés au sexe, à sa façon de le percevoir et de le vivre.  La recherche de la beauté, surtout chez les femmes qui ne voulaient pas seulement reluquer les paquets mis en évidence par la mode masculine.  Les bourgeois s’étaient donné une conscience de classe.        

La bourgeoisie s’est formée autour de valeurs particulières, elle a voulu s’écarter des autres à travers le raffinement, ce qui l’a amené à se poser des questions sur le « comment  » assurer une descendance qui lui soit digne.  Et, une descendance digne ne joue pas aux fesses d’où l’obsession contre l’inceste, la promiscuité et la masturbation (chez les enfants).  Un geste qui pourrait les affaiblir quand ils seront plus vieux, voire les rendre totalement indigents ou fous.  Plus niaiseux que ça tu crèves, mais c’est ce qu’on pensait, grâce aux religions. C’est ce que l’on croyait, que l’on enseignait.  C’était l’état de la connaissance du temps.C’est bien beau tout ça, mais il y a une grande vérité : on n’était pas là.  On interprète et on essaie de s’expliquer comment les choses ont évolué.  Donc, ce n’est pas étonnant que l’on ait différents points de vue.  Mais, ici au Québec. Il semble bien qu’on  » tourne en rond « , qu’on n’est jamais sorti de l’emprise religieuse. 

Le débat entre l’égalité homme-femme ; la laïcité et les droits religieux prouvent qu’on se tient encore la tête dans le sable plutôt que reconnaître que l’absence de connaissances permet de maintenir des lois, des normes, basées sur des imbécilités, des mensonges et de l’ignorance crasse.      

26 Octobre 2009     
La liberté sexuelle 3.        

En fait, Michel Foucault, dans son livre sur L’histoire de la sexualité, la Volonté de savoir, chez Gallimard, s’interroge sur le comment on a implanté la perversité sexuelle dans la tête des gens.             

Le premier responsable fut évidemment la religion.  Avec la confession, la religion se nourrit des petits larcins sexuels des gens.  Avec le temps, le monde judiciaire versera dans cette même lutte du normal – pas normal.  Et, selon la religion, seule la procréation est normale.  C’est la guerre déclarée contre le plaisir, contrairement, à la pensée de la Grèce antique. C’est le début de l’obsession sexuelle de toute la société.           

Toute la vie sexuelle de chaque individu est passée au peigne fin.  Dès l’enfance, on habitue le jeune à s’interroger sur ses gestes de nature sexuelle, on l’oblige à de pénibles examens de conscience.  Toutes ses gestes, surtout si un jeune est pensionnaire, un fils de la bourgeoisie, sont examinés dans un seul but: qu’il ne pense pas à sa sexualité.  Mais, malheureusement, tout homme naît sexué, c’est d’ailleurs un prérequis pour exister. 

Le petit spermatozoïde doit être le meilleur sur des millions pour engendrer la vie.  À la fin, le mélange spermatozoïde -ovule donne naissance à des gênes différents, ce n’est pas ce qui rend la nature anormale, mais c’est ce qui détermine ton sexe et ta perception de toi-moi.    On ne pouvait pas le savoir tant qu’on n’a pas eu découvert l’ADN.  Ce qui est étonnant, c’est qu’on continue de croire les stupidités de cette époque, maintenant qu’on sait que c’est stupide. 

Ce fut la lutte à mort contre la masturbation sous toutes ses formes.  Le jeune n’avait pas de sexualité, mais on devait le suivre 24 heures sur 24, 60 minutes par heure, pour être sûr qu’il ne s’aperçoive pas que bander peut être accompagné de plaisirs et de désirs. Même bander était un péché, un signe de perversion.  C’est complètement malade ;  mais c’est ce que l’on nous a fait subir.

Notre morale et ses normes reposent sur cette aberration, cette ignorance crasse.

Et, c’est encore en force puisque les fous du parti conservateur de Stephen Harper (appuyés par les députés des autres partis) ont pu hausser l’âge de consentement, en dehors de tout respect pour la réalité physique des jeunes.

On ne devrait plus parler de la Commission des droits de la personne et de la jeunesse, car on est revenu à ne pas considérer leur réalité et à leur imposer nos scrupules et notre bêtise d’adulte surprotecteur.

La sexualité est ce qu’il y a de plus privé quelle que soit l’âge.  Pas de violence ou d’intimidation, consentie, responsable, plaisante, la sexualité ne peut qu’être bénéfique. 

Les adultes vivaient une véritable obsession quant à la vie sexuelle de leurs enfants parce qu’on leur faisait croire que les gestes durant l’enfance pourraient non seulement tromper, altérer leur vie morale devenus adultes, mais pire, contaminer leurs descendants pour des générations à venir.    

C’est la même stupidité quand on essaie de nous faire croire, dans les procès actuels, que se faire faire une pipe ou se faire caresser peut stigmatiser un jeune pour des années à venir.   Quand un adulte vient témoigner en ce sens, on devrait plutôt se demander si le traumatisme n’est pas venu du scandale que l’on a créé autour du fait qu’il a été « pris sur le fait », de la honte qu’il a ressenti devant les autres qui l’apprennent , et ensuite,  de la privation de ses privilèges quand cessa cette relation. Les pédérastes ont vite le portefeuille ouvert.                   
Un curé avec un tout petit peu d’imagination n’avait probablement pas à chercher à se stimuler longtemps pour se masturber, le soir, s’il était le moindrement auditif.   Les paroles de la confession devaient être une musique extraordinaire à entendre.  Pas étonnant que certains succombent à la folie de croire que de te priver de plaisir te rend meilleur, une conception drôlement masochiste à la base de toutes nos religions actuelles.      

Le but était d’éliminer le sexe de toute forme de jouissance pour ne conserver que son but ultime : procréer. Tout est mal en dehors de la procréation.

Pour y arriver, on a multiplié les condamnations judiciaires des petites perversions. 

On a dès lors voulu exercer un contrôle pédagogique sur les jeunes.   On a créé des normes qui encadrent le développement sexuel pour éliminer toutes les formes de déviances.  Mieux les médecins ont créé autour de la sexualité un vocabulaire de l’abomination.         
 
La sexualité d’un enfant ne répond pas à des normes, sinon celles de la nature.  Prétendre qu’un individu est vil parce qu’il naît gai, c’est prétendre que la nature s’est trompée, qu’il y a un gêne qui a poussé de travers.  Le mal se transmet à travers les gênes, d’où ne faut-il pas pécher, pour ne pas handicaper sa descendance… Fou : absolument !  Mais ça passe bien pour contrôler les gens.  Ça passe si bien qu’on y croit encore aujourd’hui.     

Et Foucault rejoint Wilhem Reich, en disant que le but recherché était d’assurer le peuplement, de reproduire la force de travail, de reconduire des rapports sociaux, bref d’aménager une sexualité économiquement utile et publiquement conservatrice.  

Donc, comme le disait Reich : la culpabilité amène les gens à se surpasser pour se faire oublier, se faire pardonner.  Et, si on se rappelle des raisons qui ont entraîné la création de la religion protestante : la rédemption était une industrie florissante.  Brimer les désirs sexuels, c’est inestimablement payant. Qu’on le veuille ou non, le capitalisme est une sublimation sexuelle.

27 Octobre 2009     
La liberté sexuelle 4.


Comme les textes précédents, j’indique ce qui me semble important de retenir du livre Histoire de la liberté sexuelle, la Volonté de savoir, deMichel Foucault, chez Gallimard, et je dis ce que j’en pense.          

Avant de se mettre à tout interdire, vers le 18è siècle, la Pastorale chrétienne et la loi civile ont commencé par définir ce qui était licite et illicite, normal et anormal.  

Dès lors, les prêtres ont commencé à explorer jusqu’au tréfonds de l’âme la vie sexuelle des couples.   Tout était analyser, scruter, cataloguer et chaque petit geste était dicté pour indiquer comment doit agir sexuellement en bon chrétien.  Tout ce qui est hors procréation est du domaine de l’immoral.     
 
Puis, on en fit autant dans les écoles, pour créer de bons citoyens.  Les éducateurs, médecins ont installé un système de surveillance absolu du sexe des jeunes. Tout ce qui touche le sexe était régi. Tout est prévu de seconde en seconde pour le jeune.  Tout est fait pour l’empêcher se réveiller à la sexualité.        
 
On élargit ce besoin absolu de la norme et on commence à s’intéresser à ce qui est hors-norme.  Et de là naquit la société des féminounes, la société de l’aveu.  Avec la confession, les examens de conscience, puis, ensuite avec la psychanalyse on doit tout savoir sur le sexe.     

La médecine s’est mise à remplacer la religion dans la hantise sexuelle.  On fait une campagne contre l’onanisme (masturbation) et celle-ci devient pour tout le monde un secret, un objet de honte. On commence même à combattre les proximités.  Selon Van Hussel, Histoire de la répression sexuelle, le lit a été inventé pour séparer les bourgeois du peuple, car avant son invention, tout le monde couchait sur le même plancher.  Au début, le lit était une plateforme pour permettre aux mieux nantis de s’écarter de la plèbe.           

En fait, la sexualité est tellement combattue qu’elle devient une obsession générale.  Plus on parle du plaisir de tuer, plus le plaisir fascine.  La famille devient un réseau saturé, complexe de sexualités multiples.  Notre société devient une société de perversions éclatante et éclatée.  La sexualité est pour les médecins et les psychiatres une mine d’or.   Plaisir et pouvoir se chevauchent et se relancent, selon des mécanismes complexes et positifs d’excitation et d’incitation.           

La science pour répondre à la morale instaure la peur du sexe.   Elle ajoute un impératif d’hygiène.  On fait aussi du sexe un enjeu de la vérité. On cherche par tous les moyens de dire   » la vérité du sexe ».  Ce n’est plus ce qui se vit dans tes pantalons qui comptent, mais ce qu’en pensent les spécialistes qui interprètent tes aveux.   Le rituel de l’aveu nourrit cette prétendue connaissance de la vérité su sexe.  L’aveu s’est inscrit au coeur des procédures d’individualisation par le pouvoir.  L’aveu, c’est le vrai. Rien que le vrai.  Même si on doit l’obtenir sous la torture, l’aveu reste vrai. Le sexe est la matière privilégiée de la confession.  L’aveu innocente, rachète, purifie, promet le salut.  L’insistance de domination n’est pas du côté de celui qui parle, mais de celui qui écoute.  C’est l’Inquisition du sexe. Le sexe est obscur, il faut arracher l’aveu de force.            

La sexualité est alors devenue une pathologie.     

On a voulu comprendre, savoir et pour se faire, on a créé une volonté de savoir. On a décortiqué le sexe de toutes les façons. On voulait tout savoir sur le sexe, on avait du plaisir à savoir. On a créé toute une philosophie autour de la dualité : corps-âme ; chair-esprit ; instinct-raison et pulsion-conscience. On a institutionnalisé le sexe.  Les monarchies se sont édifiées sous forme de droit.  Au début, on s’en est pris au jeune pour combattre la masturbation ; mais au 19è siècle on s’en est pris aux femmes, en introduisant  » le cirque » de la censure et de la femme en chaleur. 

La moralisation des classes pauvres a commencé vers 1830. C’est l’aboutissement de la valorisation du corps.  La bourgeoisie est devenue un corps. On craint les conflits avec les pauvres, les urgences économiques, les problèmes sanitaires mettent la vie bourgeoise en danger.   On identifie le besoin de contrôler la population.       

Il y a une sexualité bourgeoise et des sexualités de classe.  Avec la psychanalyse et la peur de l’inceste, on aboutit même à essayer d’enlever l’enfant de la famille pour le protéger.  Nous sommes alors entrés dans une phase de régression du juridique.     

Les normes remplacent les lois.  C’est le biopouvoir du capitalisme, les institutions de pouvoir sont centrées sur la vie.  On est passé du symbolisme du sang (de l’aristocratie) à l’analytique de la sexualité.  

Plutôt qu’être une force de vie, le sexe devient un instrument du mal.  Mais, le sexe vaut bien la mort.  Le désir du sexe, d’y accéder, de le découvrir, de le libérer s’étend partout. On veut comprendre l’instinct sexuel.        

En fait, avec son ascétisme, la religion a sali la sexualité et l’état civil n’a pas eu l’intelligence de remédier à la situation parce que le mal sexuel était trop payant.  Ça fait penser au problème de la drogue aujourd’hui.

(À noter, qu’aujourd’hui, grâce à recherche, on sait que notre sexualité dépend de plusieurs gènes, douze, et non un seul. Reste à savoir si les déviances sont simplement l’action dans les gênes que l’on vient de découvrir. Si c’est le cas, les anormaux seraient simplement normaux, mais socialement inaccepté à cause de l’éducation.)

No comments yet

Laisser un commentaire

Entrer les renseignements ci-dessous ou cliquer sur une icône pour ouvrir une session :

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueueurs aiment cette page :