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Radioactif 546

novembre 6, 2022

Radioactif 546

02 Octobre 2009     
Les premiers changements de perception. 

Jeune, je vivais ma sexualité comme on a faim ou qu’on attrape un mal de dent.  C’était normal.     
 
Un jeu comme un autre pour tous les petits gars du monde, même si les féminounes et les autorités essaient de nier cette réalité.  

 » Je suis mère,  mais ça ne te permet pas de savoir ce qu’un gars ressent. Tu es mère, mais ton flo n’est pas ta possession.  Devenir adulte, c’est devenir autonome. Empêcher un jeune de se connaître, de s’émanciper, c’est le surprotéger, c’est nuire à son développement. Sommes-nous obligés de demeurer aussi niaiseux que certains de nos parents l’exigent  ? »           

La curiosité sexuelle est plus vivante, plus tentante pour un gars, car il peut comparer la longueur, la forme, la grosseur du pénis et de la poche.  C’est moins vulgaire que scrotum, si un mot est laid, il est vulgaire.  L’éducation des filles, au contraire, présente toujours la sexualité comme un sacrifice, une tâche à accomplir, une attaque à leur dignité. 

Les filles ont leur a toujours dit que la première fois sera douloureuse, que la sexualité est malheureusement une réalité. Les règles sont une maladie. On leur a appris à n’y voir que du mal, de la saleté, de la perversité plutôt qu’une forme d’émancipation.   Les femmes normales, intelligentes, féministes, ne vivent pas cette négativité et ont apprises à être fières de leur corps, à se débarrasser de ce discours religieux, stupide et féminoune.             

L’attrait pour la sexualité est inévitable chez tous les garçons du monde quoiqu’il puisse survenir très jeune ou assez vieux, selon chaque individu et surtout, selon les différents milieux, les différentes cultures. 

Règle générale, cet attrait survient avec la puberté (11-12 ans).  Normal.  Les hormones te font exploser. Ça chatouille si tu sais mettre les doigts à la bonne place.  Pas étonnant que les moumounes trouvent les massages pervers ou ont peur de la nudité.  Une situation qui naît habituellement de l’incapacité à se comparer à un autre, de toujours se trouver moins beau.  En prétendant que c’est mal, on peut socialement justifier son incapacité à s’accepter comme on est.  C’est la méthode de la bourgeoisie, salir l’autre avec ses vertus.     

Pourquoi les féminounes n’acceptent-elles pas cette situation?  Elles ne comprennent que la réalité des femmes qui n’acceptent pas qu’il y ait des hommes sur terre. Comme disait Freud, elles ne digèrent pas l’existence du pénis dont elles sont privées ou dont elles ont peur. Pour compenser, elles prétendent maintenant pouvoir jouir autant du clitoris que les hommes du pénis.  Est-ce vrai?  Je ne le sais pas. Je n’ai pas de clitoris. 

Pour le petit gars, jouer au docteur est une réponse à la curiosité.  L’instinct de vie.  Le plaisir.  Quand des femmes prétendent que leur fils est devenu tout anxieux parce qu’il s’est poigner en jouant aux fesses ; la réalité est plutôt qu’ils sont devenus anxieux de voir l’état hystérique dans lequel se sont retrouvés les adultes en le découvrant.  Les adultes deviennent fous raides dès qu’il est question de sexualité (du moins au Québec).  Ils vivent enfermer dans ce que les religions leur ont appris, tout en se faisant croire qu’ils se sont libérés en allant plus à l’église.   Les bourgeois(es) sont des êtres superficiels qui ne s’intéressent qu’à leur apparence extérieure.   

Jusqu’à ce que je me ramasse le nez dans l’interdit, je n’avais aucune raison de réfléchir sur le sujet.  Se demande-t-on pourquoi on respire ? Quand t’es jeune, tu as trop de jeux pour t’arrêter à essayer de tout comprendre.       

L’interdit sexuel est une connerie religieuse et bourgeoise.  Elle ne repose sur absolument aucun danger, sur aucun mal.  Je ne connais pas un gars qui puisse croire que ça fait mal de se masturber. Tu ne te crées quand même pas un complexe écrasant à découvrir que ton petit zizi ressemble à celui des autres, tout en étant bien différent.  

Sauf la nuit, à l’aide de certains rêves, l’éjaculation n’est pas automatique, elle arrive quand tu l’aides.  Pas un corps n’est pareil.  Il n’y a rien qui justifie l’interdit sexuel pour un garçon qui n’a pas encore commencé à éjaculer.  Cet interdit est né jadis pour assurer la qualité du sang nécessaire à la transmission de la vie et de son rang social. Pourquoi continue-t-on à mentir ?            

Pire, avant 12-13 ans, la symbolisation n’existe pas.  Le symbolisme est un changement au niveau du cerveau, de la capacité intellectuelle.   Il modifie la perception d’autant plus qu’il arrive au même moment où le garçon commence sa puberté.  Règle général, à moins de situation traumatisante, de violence, on se rappelle très peu de choses de notre enfance.  Être traumatisé par le plaisir, ce serait très surprenant, même carrément contre nature. Mais, c’est ce que l’on prétend.  Les adultes aiment se projeter dans l’esprit des jeunes pour interpréter ce qui s’y passe. Ils ont peur et mal pour eux. Les jeunes au contraire jouissent du moment présent.     

La chasteté est anormale.  Les relations hétérosexuelles, elles, doivent tenir compte de la responsabilité.  Ce n’est pas pareil, car la fille peut tomber enceinte et règle générale les gars font des petits, mais disparaissent quand il est temps de faire face aux responsabilités.  ¨Ça va peut-être changé avec l’ADN ? 

Au lieu d’interdire, on devrait responsabiliser tous les jeunes, gars comme filles.  Ne pas donner de cours de sexualité aux jeunes, c’est une irresponsabilité invraisemblable.  Les jeunes ont droit de se connaître, de connaître les dangers des maladies transmissibles. Ils ont le droit d’apprendre qu’ils peuvent dire ou non à une relation.  Qu’une relation sans consentement, c’est inacceptable pour tous et sans exception.  Si on n’a pas de cours à l’école, les jeunes se renseigneront en écoutant de la pornographie.  C’est comme nous, quand les adultes cachaient les playboys.   C’était de l’hypocrisie, de la censure, de la bêtise. Si on regarde de la pornographie gaie, on apprendra la sodomie comme si cela n’était pas différent de l’homosexualité qui peut exister sans sodomie.   

On prétend que les petits jeux entre gars sont mal parce qu’on s’imagine que ces jeux en feront des homosexuels.Il faut cesser de mentir.

Ceux qui croient que la relation homosexuelle peut être traumatisante, ne savent pas la différence entre une relation homosexuelle et la sodomie.  On pense qu’un garçon sera automatiquement sodomisé, ce qui permet de croire que c’est comme la première fois qu’une fille se fait pénétrer.  C’est la seule chose dont les parents ont peur : que leur petit gars devienne gai, mais la plupart des pédérastes (du moins ceux que j’ai connus), ne sodomisent pas. L’activité  pédéraste par excellence est la fellation et je peux jurer que ça ne fait pas mal si on sait bien la faire.    

Malgré tous nos progrès scientifiques,  l’homosexualité demeure pour la majorité : une maladie, une infirmité.  On fait semblant d’être ouvert d’esprit.  IIs feront bien ce qu’ils voudront tant qu’ils ne me touchent pas.  C’est la seule raison pour laquelle on considère encore les pédérastes dangereux.  On croit que c’est une pandémie; mais la pédérastie est moins coûteuse et dangereuse que ce que nous fabriquent les pharmaceutiques et les assurances, que la violence et les drogues.

Je préfère être Simoneau plutôt que Lacroix.  

Je n’avais ni peur des autres, ni de moi. Je me sentais inférieur, parce que je n’étais pas physiquement très fort, mais ça ne m’empêchait pas de rêver d’accomplir de grandes choses dans ma vie.   Je voulais d’autant plus devenir quelqu’un que je me sentais inférieur.  Un moyen de compenser.  Une sublimation religieuse.  C’est peut-être comme ça que le fanatisme prend habituellement racine ?             

Si les jeunes ne se faisaient pas laver le cerveau par l’enseignement religieux à l’école, découvriraient-ils quand même la religion ?  Serait-elle plus tard un besoin ?  La religion est-elle autre chose qu’un moyen de se sécuriser ?  Peut-on croire en dieu, sans être enrégimenté dans une religion quelconque ?  En lavant le cerveau des enfants avec la religion, les respecte-t-on ?  Ce qu’on leur dit n’a-t-il pas plus d’impact durant toute leur vie qu’une aventure sexuelle ? La religion n’a rien à voir avec la spiritualité.

La religion ce sont des règles ; la spiritualité c’est une recherche de vérité et de bonheur.        

Mais cette curiosité invraisemblable m’amenait à me poser toutes sortes de questions. Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ?  Pourquoi parle-t-on de mystères car, si Jésus était dieu, il était tout à fait normal qu’il accomplisse tous les miracles dont on parlait.  Je passais mon temps à chercher dans les encyclopédies. Je n’ai pas changé, ça refait surface avec la retraite. J’ai du temps et je suis plus cérébral que physique.           

Quant au sexe, la société rejetait jusqu’au droit de comprendre, de rechercher une explication.   Le mal m’a toujours apparu sous la forme de la violence et non de plaisir.  La chasteté est une chasse contre le plaisir. 

La religion est basée sur le masochisme.  On s’imaginait se sauver par le sacrifice, mais, on hallucine quand il y a trop de sacrifices.  Où est l’équilibre ?  À ma connaissance, Bouddha fut le premier à dire que la sainteté n’avait pas rapport avec la souffrance.  On n’a pas besoin de souffrir pour être heureux.  On a qu’à se laisser pénétrer par la beauté de la création pour être mystique.  L’ascétisme est à mon sens la pire erreur religieuse de l’histoire de l’humanitéC’est paranoïde : ne pas vivre pour ne pas souffrir.  Comme si la vie était une plaie quotidienne.                         

Au contraire, je suis plus religieux quand je m’arrête à la beauté de l’existence.  On peut atteindre une forme d’extase quand on médite sur la beauté. 

Plus jeune, j’ai déjà pleuré tant ce que je ressentais de plaisir de contempler la beauté dans les paysages ou dans le visage de ceux que j’admirais.  Je braille quand la musique est trop belle.  La vie n’a rien de monstrueux.  On devrait remercier Dieu à tous les jours de nous avoir donné la chance de le connaître un peu à travers sa création. C’est à mon sens plus normal si tu crois en dieu que de croire que tout est mal, péché, saloperies.           

Je n’agis pas sans réfléchir sur ce que je vis ou que j’ai vécu.  Je ne fais que ça, au point où je trouve que mon introspection pour comprendre devient une «danse du nombril» qui n’en finit plus.  Mais, il est préférable de s’interroger sur le sens des choses, la raison d’exister que de vivre béatement ce que les autres prétendent être la vérité.              

Ça me permet d’accepter mon petit côté fou et de vivre heureux dans ma bulle; même s’il y en a qui voudrait la péter probablement par jalousie.  Je suis fou, mais au moins j’ai de quoi à dire, je n’ai pas vécu comme un légume et je ne suis pas dangereux pour les autres.           

À cette époque, j’avais encore plus peur de la mort, car on nous en parlait toujours et je n’arrivais pas à concevoir ce que c’était.  J’avais vu des vaches se décomposer, des tantes très laides dans un cercueil, je savais qu’on est froid quand on meurt, mais la mort, l’arrêt total sans retour, qu’est-ce que c’était?  Une peur. Un mystère.   

Quand on en parlait, on sentait qu’on devait en avoir peur.  Notre connaissance de la sexualité était un peu du même ordre : on sentait qu’il y avait quelque chose qui n’était pas correct, mais on ne savait pas quoi. 

La mort est une réalité qui ne devrait préoccuper aucun jeune, même si certains décèdent jeunes.   On sent quoi quand on meurt ?  Est-ce que ça fait mal ?  Est-ce qu’on sait qu’on meurt ? En a-t-on conscience ? Normalement, on perd conscience quand on souffre trop ?  La mort est-elle le vide absolu ? C’est pourtant ce qui est le plus logique. Qui peut penser sans son cerveau ?           

J’étais loin de croire que la mort est un processus normal dont les religions se sont servies à la fois pour faire peur aux individus et en même temps asseoir leur pouvoir en faisant croire qu’il y a un paradis après la mort. 

Les religions ont existé parce qu’elles répondaient positivement à la plus grande peur, mais aussi au plus grand désir : elle promettait l’éternité.  Qui serait assez fou pour prendre la chance de ne pas être éternel ? Qui avait assez de couille pour remettre en question ce qu’elles nous disaient ?  Est-ce que le ciel valait la peine que l’on meurt pour s’y rendre ?   

On naît, on vit et au fur et à mesure on oublie ce qui se passe.  Qui se rappelle de son quotidien ? Qui se rappelle de son enfance ?  Mais, on se rappelle du plaisir quand on a eu une petite aventure qui sort de l’ordinaire.  Règle générale, chez les gars, c’est le plaisir ; chez les filles, c’est la peur, le mal, la culpabilité.  Ce n’est pas génétique, c’est culturel.  Ceux qui en souffrent et qui ne règlent pas leur problème finiront par devenir croches.  Ils verront du mal partout, ils le projetteront sur les autres, les sales, et déstabiliseront leur rapport avec les humains. La haine l’emporte.   Ça peut aller jusqu’à la paranoïa, ce que vivent à mon avis, les féminounes qui s’enflent la tête entre elles.   

Le Québec était (et est encore) une société incapable complètement de réfléchir individuellement à partir de sa propre expérience et saisir que le moule  » religion -bourgeois  » est strictement pervers.  Il condamne la sexualité hors procréation et ne cherche même pas à comprendre ce qu’est la nature humaine.  On reste figé à l’époque où la religion était la loi.           

On vivait sous la dictature de l’index religieuse alors qu’aujourd’hui on vit sous la dictature de l’index féminoune, un même index mais plus vicieux, car plus hypocrite et plus aliénant.   Les féminounes vivent de projection.  Elles s’imaginent que leurs mésaventures sexuelles est le lot de toutes les femmes, comme s’il ne pouvait pas y avoir de femmes qui aient connu l’extase lors de leur première relation sexuelle ou qu’il n’existe pas de mâles qui pensent différemment des machos.                     

Je fus, entre six et dix ans, comme disait Freud dans une période de latence jusqu’à une dizaine d’années.  Je tombais d’ailleurs amoureux des femmes qui me fascinaient, probablement que ça avait un rapport avec ma mère.  Je l’adorais et possiblement que les Madame Caouette, mes institutrices et cies étaient des substitutions.  

Je n’étais pas sexuellement attiré par une femme ou une fille, pas plus d’ailleurs, que par un homme adulte.  Sauf qu’en vieillissant, j’ai commencé à me demander comment c’était chez les autres.  Le cruising est très simple quand tu es jeune.  Un jeune qui veut être voulu, ça se repère à l’oeil nu.                   

Pour un pédéraste, la beauté est tout.   La beauté, c’est un regard, une démarche, un sourire et la perception d’un échange intense d’énergies.   Bien au-delà du sexe, l’important en pédérastie est d’être en présence de celui que tu aimes.  La complicité.  Juste les voir te rend fou.  Le sexe sans cette complicité ne veut rien dire.  On dirait que c’est un moyen d’échapper à la solitude.   On ne devient pas accroc par pulsion, mais à cause du plaisir que ces rencontres créent.  L’interdit ajoute un peu plus de piquant.        

Mon désir d’être père a aussi joué un très grand rôle dans ma perception de ma réalité sexuelle.  Le problème avec notre société c’est qu’on devrait tous être pareils, mais c’est complètement irréaliste.  Tout individu est une entité.  Une différence.  L’aboutissement d’une multitude de changements génétiques, une sélection.  Aucun être vivant n’est pareil ne serait-ce que parce que son expérience de vie est différente.  La vérité de l’un n’est pas nécessairement celle de l’autre.  Fort heureusement d’ailleurs !

Tout individu, un jour ou l’autre, aspirera à la liberté et au bonheur.  Ça fait partie de la nature même d’un être humain.  Réaliser une vie satisfaisante avant de mourir.  Mais, une vie satisfaisante n’est pas la même pour tous. Je suis très heureux de ce que j’ai vécu, mais j’aurais voulu que la vie soit différente pour les jeunes que j’ai accompagné et que j’ai essayé de rendre heureux.     

C’est d’ailleurs le point positif de la religion : l’idéal.  On nous incitait à choisir un but, une raison de vivre et à créer des rêves.  On se savait pas pourquoi, mais nous avions tous, une vocation.  Et, presque tous les gars avaient la même: devenir papa.  Qu’on le veuille ou non, ce désir est ancré dans la structure même de tous les mâles.  Le mâle veut se reproduire parce que depuis le début de l’humanité, c’est sa fonction la plus fondamentale.  C’est l’accomplissement de cette réalité qui explique sa « différence » avec une  femelle ». 

Socialement, l’homme a toujours été le pourvoyeur, la femme celle qui s’occupait de l’éducation des enfants.  Ainsi, certaines femmes en sont venues à se prendre pour leur progéniture.  Elles s’imaginent responsables des autres, même de ceux et celles qu’elles ne connaissent pas.  Elles se prennent pour d’autres.    

Pour moi, jeune, dans la vingtaine, la seule question qui avait de l’importance était : Suis-je potentiellement dangereux ?  Est-ce que je peux nuire à celui que j’aime ?  Que puis-je faire (sauf me tuer) pour ne pas être aussi intéressé au sexe ?  Suis-je le seul de mon espèce ?       

Le pire, avec notre maudite morale, il était impossible de trouver des livres dans lesquels j’aurais pu trouver une réponse à mes questions.  Tout ce qui était sexuel était mal ou maladie mentale (sauf faire un enfant).  

La sexualité, c’était perversité sur perversité.  Une vraie bande de malades. Tout semblait affreusement compliqué.   

Cette morale religieuse m’a littéralement tué, écrasé par son hypocrisie et son illogisme.  Le moment où j’ai voulu le plus la respecter, c’est je crois, la période où j’ai été le plus fou dans ma vie. 

Et, le Québec est redevenu aujourd’hui ce monstre, grâce aux médias. Cette forme d’incompréhension de l’humain, de la nature. 

Du peuple intelligent qui avait instauré le consentement à 14 ans (même si ce n’était pas parfait) on est redevenu ces têtes vides qui obéissent aveuglément à une morale de fascistes. Les curés se sont travestis en féminounes.  

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