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Radioactif 330

mars 26, 2022

Radioactif 330

Texte de 2008

Le vol légal du gouvernement. 

Quand j’eus un prêt pour retourner à l’école, après avoir dû abandonner l’idée de retourner à l’enseignement, (je croyais sincèrement que je ne pouvais qu’être innocenté, c’était impossible autrement), j’ai demandé ma pension.  J’ai eu le premier versement rétroactivement durant mes études.             

Le gouvernement avec ses juges a décidé que je devais leur remettre tout ce que j’avais reçu sur le bien-être, soit plus de 3,500 $.  Je n’avais jamais entendu dire qu’il fallait rembourser le bien-être, c’est un aide.  Le reste, c’est le vol légal que constituent les intérêts. 

Pendant ce temps-là, au fédéral, on vivait les commandites, des vols à coups de millions. Belle justice! Tous les vrais voleurs de ce réseau de fraudes sont libres.  Si t’as pas d’argent, il faut au moins des connexions…          

Depuis, on veut m’exclure de la liste des écrivains du Québec parce que j’ai écrit un essai, une opinion, une étude intitulée : La pédérastie mise à nue.  Parce que je suis pédéraste et que je ne m’en cache pas. 

Destituer des écrivains, faire comme s’il n’avait jamais écrit, cela ne s’était vu que dans le livre de Orwell, 1984. D’ailleurs, c’est illégal selon la Charte des droits de la personne en fonction d’un article sur les associations.           

Y paraît que nous sommes maintenant à la phase d’apprendre à diriger et à manipuler les masses.  C’est peut-être pour ça qu’il faut que je devienne la cible de toutes les haines.  Cette recherche suit de près celle sur la composition d’une drogue qui permettrait aux soldats de tuer, sans avoir de remords par la suite.  Mais, ça c’est de la petite bière à côté de mes dettes. Ils vont gagner : ils font les lois et s’engraissent sur le dos des plus pauvres.  Je suis seul entouré d’un mur comme en Palestine.  On veut me débarrasser de la loi des dépôts volontaires afin de pouvoir rogner le peu qui me reste.  Pas d’argent, pas de publication : un ferme ta gueule très efficace.        

 À ma dernière visite, derrière les barreaux, on m’a dit que j’étais supposé y laisser ma peau.  Mais on aurait remis ma mort à plus tard.  La prochaine fois, la prison sera le règlement de compte, l’accident, de la pure paranoïa ?  C’est ce que l’on m’a dit.

Qu’importe au moins, j’aurai écrit ma version sur la tolérance québécoise et ça fera peut-être, un jour, un maudit bon scénario. 

Comme dans les Lavigueur, l’écœurant n’est pas celui qui est accusé, le père ; mais la mafia qui voulait s’emparer de son argent.  Il manque seulement que mon carnet (blogue) soit lu par une meute d’agents secrets pour compléter le roman.  J’espère seulement avoir le temps de finir ma biographie.  Je n’aime pas les trous de mémoire.  

Les dettes.  

Depuis que j’ai perdu mon emploi comme professeur, il y a dix ans, il est bien évident que les salaires ont fondu.  Or, durant une certaine période, j’ai dû recourir au bien-être pour m’en sortir.  

Il était impossible de réorienter ma carrière dans l’internet, même si on avait déjà accepté le prêt dans le cadre d’un projet de retour à l’école, Sprint comme le nom d’une compagnie de téléphone, on me l’a retiré, sous prétexte que c’était une erreur administrative.

À la place, probablement pour me récompenser d’avoir travaillé pour le Bloc aux élections, le fédéral a gelé mon compte de banque.  J’avais environ 10$ pour survivre.  Belle bande de trous-de -culs au Canada !      

Les universités me refusaient comme étudiant pour un doctorat sous prétexte que je fais encore des fautes de français.  Ce qui est vrai.  Je trouve ça normal d’écrire sans faute.  Plus jeune, il fallait une équipe pour corriger mes textes.  Un bel accomplissement.   Un doctorat m’aurait permis d’enseigner dans un cegep et de gagner ma vie. 

Finalement, j’ai obtenu des prêts pour aller chercher un diplôme en scénarisation, à l’UQAM.  Je pensais que je pourrais m’en sortir en écrivant des films.  J’ai même écrit un synopsis de la Thérèsa.  Ce fut un échec total, car personne n’était intéressé.  Il faut commencer avec un scénariste professionnel pour avoir des bourses, si j’ai bien compris.  Et, je n’avais pas cette relation obligatoire. Je ne connaissais personne du milieu cinématographique.           

Quant à réenseigner, inutile d’y penser, même chez les adultes.
  Comme m’a dit André Boisclair alors ministre de l’immigration « même pas besoin d’envoyer ton cv».  Je ne pouvais même pas enseigner aux adultes.   Le seul endroit que l’on m’a proposé : Bordeaux Beach.  Je ne sais pas pourquoi je n’étais pas tellement intéressé.           

Selon le système, j’imagine qu’une fois que tu es reconnu coupable de relations sexuelles avec un jeune, tu devrais te suicider.  Tu ne peux plus rien faire, tu seras toujours le grand danger public. Ce beau système d’hypocrites te barre partout.  Pas question que tu travailles ou t’ailles vivre ailleurs. Tu n’as pas le droit de sortir du pays.  Ce n’est pas tout le monde qui veut mourir, même si on leur rend la vie infernale.      

Ce doit être à cause cette nouvelle désobéissance que l’on ne me lâche pas, même si ça fait 10 ans.  Quant au FLQ, ça fait 40 ans, si j’avais eu à récidiver, je l’aurais déjà fait, il me semble.            

Le bien-être a prétendu que je n’avais pas déclaré tous mes revenus quand je travaillais à la Fondation des Aveugles.  Il prétendait qu’il lui manquait 800$. 

À cette époque, j’étais tellement pauvre et je gagnais si peu (je suis un très mauvais vendeur, je déteste ça) que je m’achetais des bananes pour que ça coûte moins cher de repas afin de pouvoir apporter des sous à Petit Gabriel, qui vivait avec moi, qui souffrait de schizophrénie et qui s’était ramassé en prison.  Puisque je n’étais pas là, que j’étais déjà en prison quand il a été condamné, je me sentais coupable.  Quand je dépassais la limite permise de ce que l’on a droit de gagner par mois, je l’indiquais, mais y parait que ce n’était pas la bonne manière de l’écrire. Un juge a finalement statué que je n’avais pas tenté de frauder

 Aujourd’hui, je crois comprendre pourquoi. Ils ont pu prétendre que je leur devais de l’argent.  La Fondation des aveugles a indiqué avoir reçu 5,000$ en don d’une dame. Ce qui s’est vraiment passé. J’aurais dû toucher le tiers;  mais, pour permettre d’organiser la venue du Père Noël pour les petits aveugles pauvres, je n’ai pas touché ce qui me revenait de droit. Je ne l’ai donc pas déclaré puisque je n’ai jamais eu l’argent.   La Fondation a quant à elle déclaré ce montant.   

Je ne connaissais pas ce détail quand je suis passé en Cour du Bien-être. Y paraît que de toute façon, les tribunaux administratifs ne sont là que pour appuyer les institutions qu’ils représentent.   

À mon avis, c’est le gouvernement qui m’a volé et non l’inverse.


La mafia légale se déchaîne.     

J’ai reçu ce soir une tonne de papiers pour m’amener en cour le 5 février prochain.  Le plaignant : le bien-être social du Québec.   Ça me surprend parce qu’habituellement on me tape sur la gueule juste avant des élections.  Il n’y en a pas de prévu au provincial à court terme, du moins, à ce que je sache. 

Si c’était venu du fédéral, comme aux dernières élections, je n’en n’aurais pas été surpris.  Aux dernières élections, on a gelé une partie de ma retraite, sous prétexte que le fédéral ne doit pas obéir aux lois du Québec. Je suis sur la loi Lacombe ou des dépôts volontaires.  Donc, ce geste était illégal. 

On voit comment les fédérastes nous respectent, en dehors des référendums. 

Le bien-être, ce sont les Libéraux et l’ADQ, tous des fédérastes.  Serait-ce qu’aux prochaines élections, on revient aux luttes fédérastes-séparatistes?  Tous les fédérastes dans le même bateau.     

 À la suite du dernier référendum volé, comme le pouvoir de Bush aux USA, j’ai écrit que Jean Chrétien et Paul Martin étaient les chefs de la mafia légale au Canada. Quant à Stéphane Dion, je l’ai accusé d’inciter à une guerre civile à travers son projet de partition. 

J’ai appris le sens du droit d’opinion : les politiques m’ont arrangé le portrait. 

On a monté une belle mise en scène et je me suis ramassé dedans.  Mais, on ne peut pas monter des pièges ou fabriquer de nouvelles histoires à tous les cinq minutes.  Pour m’accuser, il faut qu’il y ait une victime et là, je vis seulement avec mon frère aîné et ma petite chienne Benji, très difficile de réorganiser un autre procès sexuel pour me faire haïr encore plus.  Il ne leur reste plus que l’argent. 

Le système économique est là pour créer des crises quand les gens deviennent trop lucides.  S’ils mangent assez de merde, ils oublient ceux qui les ont enfoncés dans le tas de merde et, au contraire, ils deviennent tout reconnaissants d’avoir un sauveur.  C’est une bonne méthode pour organiser ce que l’on appelle une dictature bénévole ou volontaire

Il n’y a plus de choix possible : ils sont tous corrompus.  Revenir à l’obéissance aveugle, demander pardon à genoux et prier, prier, prier pour que le ciel soit plus clément ; c’est le lot de ceux qui crient trop fort.  Écraser l’individu, une méthode que l’on emploie à outrance en politique canadienne. 

En1970, ils ont envoyé toute une armée contre une douzaine de gars.  Ils avaient peur… la mafia légale, c’est fort

L’angélisme nous coûtera-t-il l’indépendance du Québec ?


Les voleurs au pouvoir. 

La force de la mafia, c’est qu’elle est présente autant dans les hautes sphères policières que dans la pègre.  L’un est le bras légal de l’autre, mais les deux nourrissent la même mangeoire et paye les mêmes personnes qui opèrent à un échelon plus élevé.       

Grâce à mon emploi, soit effectuer des sondages, je payais ma loi Lacombe, comme on me l’avait expliqué ; mais, sans qu’on nous avertisse, la loi a été changée.  Il aurait fallu en payer plus. 

Le gouvernement, c’est le pire vampire.  Il opère par décrets.   On dirait que le gouvernement pense qu’on passe notre vie à écouter les délibérations à l’Assemblée nationale pour connaître toutes les modifications qu’ils apportent aux lois. 

Les règles du jeu n’étaient plus les mêmes.  Il aurait fallu en payer plus, mais je ne le savais pas.  Hostie !  Je vivais déjà dans la pauvreté totale et il aurait fallu que je leur en donne plus.  Tu gagnes rien (en bas de 25,000$ aujourd’hui c’est rien), mais t’as des retours d’impôt à payer.  Payez les caves!  Votre agent est nécessaire à la grande mafia bourgeoise qui fait la belle vie à vos frais.       

La petite pègre légale du Québec a trouvé qu’à 10$ l’heure, on gagne beaucoup trop.  Le cheap Labor qu’on appelait ça, dans le temps du FLQ.  Je n’avais pas ma carte de membre, mais je savais lire les journaux.  Aujourd’hui, nos voleurs légaux professionnels jappent après moi, mais augmentent les bénéfices des multinationales. 

J’étais prof, on n’avait rien à me reprocher, on a voulu m’embarquer dans un coup monté en dehors de mon enseignement. Parce qu’on avait besoin de s’assurer que je n’étais plus un membre du FLQ, pire parce qu’on aurait aimé que je sois chef d’un nouveau FLQ organisé par la police, piège dans lequel je ne suis pas tombé  Un « Mister big », comme on dit dans District 31, un ajout à la réflexion en 2022.

On a même kidnappé deux enfants pour y arriver, on m’a refusé ensuite toutes les jobs payantes et on voudrait que je leur remette ce qui m’a permis de survivre.  Gang de trous-du-cul! Le coût de la vie augmente, grâce aux pétrolières, à leurs vassaux politiques. On dit que c’est le coût des voyages pour nous apporter ce que nous consommons.   Nous payons pour nous faire voler et on aime ça. On en redemande. 

 Jean Garon, ancien ministre de l’agriculture, sous le PQ, préconisait l’autosuffisance du Québec en agriculture.   Aujourd’hui, on paye pour ne pas l’avoir écouté et bientôt, grâce à l’immigration, ce sera impossible de créer un Québec indépendant pacifiquement.  Ça n’a peut-être plus grande importance pour moi, je serai bientôt mort.  On m’y aide tranquillement à y arriver plus rapidement. 

Les chacals gouvernementaux s’acharnent déjà sur ma dépouille. 

Au fait, même les néo rhinos ne sont plus drôles et se prennent au sérieux « il ne faut pas de Jean Simoneau », depuis que les féminounes y réclament l’égalité.  Je peux annuler mon vote sans eux. 

En votant Bloc, je ne choisis pas le salaud qui va nous diriger, mais au moins, il y a un petit rempart pour nous protéger du fascisme canadien et québécois.   On peut continuer de faire semblant de croire dans la démocratie.

On est plus à l’époque de rire, mais de reprendre le pouvoir et de créer un pays.

Québec anglais.    

Jadis, M. Harper voulait que le Québec soit unilingue français et le Canada unilingue anglais.  C’est une réalité à presque 100% puisque l’assimilation est plus rapide chez les canadiens français hors-Québec. Le français c’est du folklore, en dehors du Québec, au Canada. 

Il a dû mettre de l’eau dans son vin.  Les multinationales ne veulent pas d’un Québec français (l’étiquetage, le bilinguisme, etc.).  Il faut donc continuer de nous angliciser et nos nouveaux princes-nègres (journalistes) essaient de nous faire croire qu’il n’y a rien là.  Charest s’occupe de la mise à mort du Québec français (même si économiquement il a raison de vouloir nous intégrer à l’économie de l’Europe). 

Il l’a bien dit : il ne faut pas d’une immigration à deux vitesses : les riches et ceux qui ont l’intelligence d’apprendre le français (les pauvres).  On comprend son message : il faut continuer d’assimiler le Québec avec des immigrants riches.  Il oublie que les jeunes qui nous arrivent auront à apprendre le français le plus vite possible pour vivre dans un pays francophone et non se faire vivre par lui. 

Très bientôt Montréal sera constitué d’une minorité de francophones.  Voyons donc, il ne faut pas nous prendre pour des valises.   Quant à la langue du travail, on est en train de troquer le français pour une job. 

Nous sommes les nouveaux esclaves de l’économie.  La liberté c’est d’être riche ; mais pourri.   Mon texte précédent était meilleur, mais je suis tanné de toujours devoir recommencer.  Je m’en excuse.

Quand j’écrivais mes grandes épîtres, il arrivait assez souvent que je les effaçais en essayant de les publier.  Ce qui démontre que je ne connaissais pas grand-chose dans l’art de publier sur l’internet.

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