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Radioactif 226

décembre 12, 2021

Radioactif 226

02 Novembre 2007

Citoyen de seconde zone.         

Quand on parle de citoyen de seconde zone, il n’est plus question de langue, mais de pognon.  Nos gouvernements ont choisi de privilégier les plus riches qui veulent s’installer chez-nous aux dépens souvent d’une politique de regroupement des familles. 

Le gouvernement préfère l’extase devant un immigrant bourré d’argent que celui bourré de talents ou un citoyen qui veut oublier la dictature de son ex-gouvernement et prendre plaisir de partager la vie démocratique avec nous. 

En réalité, tout humain devrait avoir le droit de s’installer où il veut , où la culture et la forme de vie lui plaisent  le plus ; mais nous sommes encore loin de cet idéal d’ouverture aux autres. 

Qu’on le veuille ou non,  les rites religieux,  l’approche de la sexualité et le sens de l’existence de l’homme dans les religions sont inévitablement les principaux motifs de ségrégation et de racisme dans le monde. 

M. Charest devrait tenir un  référendum avec la question : Les immigrants devraient-il apprendre le français avant d’être déclarés citoyens du Québec? 

Si on n’a pas le droit de définir la citoyenneté parce qu’on fait partie du Canada, il est urgent d’en sortir.

02 Novembre 2007

De la visite. 

Un immigrant, c’est comme de la visite à la maison, à l’échelle d’un pays.  Personne n’est obligé d’accepter la visite qu’il ne veut pas recevoir ou le visiteur peut aller s’installer chez le voisin, si ta face ne lui revient pas. 

Ce n’est pas du racisme, c’est une simple réalité.  Imaginez quelqu’un que vous recevez chez-vous, que vous entretenez et qui décide de s’imposer.  C’est la même chose.  Nous n’avons pas à intégrer les problèmes et la haine du visiteur. 

Les religions fabriquent et entretiennent une haine millénaire. 

Nous devons reconnaître que l’immigration est extrêmement positive pour l’amélioration d’un pays ; mais nous sommes totalement en droit d’exiger que les immigrants apprennent le français pour avoir droit de s’installer chez-nous.  Ils viennent par choix.  Ils doivent savoir qu’ici on parle français et que l’on s’attend à ce qu’ils nous respectent assez pour vouloir nous parler dans notre langue. 

On ne peut rien faire pour ceux qui sont déjà là, mais les autres doivent savoir à quoi s’en tenir avant de s’installer chez-nous. 

D’autre part, il est anormal qu’un universitaire vienne ici et que l’on ne reconnaisse pas ses capacités.  Connaître d’autres façons de penser, d’autres cultures, c’est une richesse; mais un immigrant qui refuse d’apprendre le français, c’est un intrus.  

02 Novembre 2007

Québec français.  

L’immigrant qui vient vivre au Québec doit savoir avant même d’y mettre les pieds que le Québec est un pays francophone et que le Canada, notre voisin d’à côté, qui se prétend bilingue, est encore plus unilingue anglophone que n’importe quel citoyen du Québec est unilingue francophone. 

Même les jeunes anglophones ont l’intelligence de saisir l’importance de parler français au Québec. 

Le jour où le Québec sera un pays, qu’il sera maître de sa destinée, il songera sûrement aux avantages de connaître plus d’une langue, même si au Québec toutes les institutions publiques devront être unilingues francophones. 

Dans un Québec indépendant, il ne devrait y avoir qu’un système scolaire français, mais un tel système doit permettre à tous les jeunes d’avoir une bonne connaissance du français et de l’anglais.  Il serait possible que la première et la deuxième année du secondaire soient totalement offertes dans l’autre langue que notre langue maternelle. 

Des cours devraient être aussi offerts dans d’autres langues comme activités parascolaires, en se servant des immigrants comme enseignants. 

Plus nous connaissons de cultures différentes, plus nous avons de chance d’être heureux, car on apprend ainsi à admirer l’autre plutôt que de le voir comme un ennemi potentiel.  Je suis bien content que la pédérastie m’ait  fait penser ainsi.

02 Novembre 2007

Des assiégés ?     

Est-il préférable d’être des assiégés ou des fédérastes colonisés aliénés ? Là, est toute la question en immigration. 

Exiger que les immigrants apprennent le français en s’installant chez nous au Québec ne font pas d’eux des citoyens de seconde zone puisque nous défrayons leurs programmes sociaux dès qu’ils s’installent chez-nous.  Ils reçoivent même plus d’aide que nos aînés. 

N’est-il pas normal qu’ils aient la décence d’apprendre la langue qui leur permettra de communiquer avec les autres Québécois ? Pourquoi s’installer  au Québec, si on refuse d’apprendre le français ?   Ils n’ont qu’à s’installer partout ailleurs en Amérique du Nord où ils pourront parler anglais. 

Nous ne forçons personne à s’installer chez nous.  Par contre, quand M. Charest parle de citoyens à deux vitesses, c’est un problème temporaire si on commence à l’exiger maintenant.  C’est comme la partition : pourquoi le Canada refuse-t-il une double citoyenneté pour faire plaisir à ceux et celles qui sont trop âgés pour modifier leur vie et qui veulent mourir en s’imaginant vivre encore au Canada?  Ça nous enlève quoi, en autant que le fédéral ne vienne pas mettre le nez au Québec quand nous serons indépendants ?  On dirait qu’au Québec tu as droit d’être indépendantiste, tant que tu penses que ça ne se réalisera pas…

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