L’âge de consentement.
La gestapo féminoune
La Gestapo féminoune nie que l’âge de consentement au Québec pour des actes sexuels fut jadis de 14 ans. Quelle indécence face à la vérité!
Ce n’est que très récemment que le gouvernement fédéral a unanimement décrété que l’âge de consentement serait dorénavant de 16 ans au Canada. On a modifié ainsi la Charte des droits du Québec sans même tenir un débat.
Cela ne respecte absolument pas le droit absolu des adolescents (es) à être seuls maîtres de leur corps et de leur esprit comme l’indique la Charte des droits du Québec. Ce changement est un affront à l’esprit d’ouverture qu’avait le gouvernement péquiste du temps. L’âge de consentement à 14 ans visait à protéger les jeunes contre des parents dictateurs et leur conférer le droit de choisir.
La liberté ne consiste pas à toujours dire non, mais à pouvoir dire oui en toute connaissance de cause.
Personne au Québec n’a osé relever cette ineptie fédérale (je l’ai fait en témoignant à la commission sur la laïcité) parce qu’on a évidemment trop peur d’être jugé comme étant pédophile.
Personne ne se rappelle que la pédérastie ou l’amourajoie est strictement différente de la pédophilie. Le fédéral a changé les règles, sans même consulter le Québec. Ce dernier est devenu tellement scrupuleux qu’il n’aurait probablement rien fait pour analyser pourquoi on avait accepté l’âge de 14 ans auparavant.
L’âge de consentement va de pair avec le droit d’un jeune d’être maître de son corps et de sa vie.
Un autre juge vient de le reconnaître dans un dossier concernant la vaccination d’un jeune de 12 ans. À cet âge, le jeune n’est définitivement pas à un adulte, mais il peut être assez mature pour décider ce qui lui convient le mieux face à des parents qui lui imposent leur vérité. Les conservateurs sont d’ailleurs pour les cliniques de conversion chez les garçons homosexuels.
C’est le même droit à l’intégrité physique des jeunes du côté sexuel, même si pour la majorité des jeunes, la vie sexuelle se résume à la masturbation.
Si tu en fais un péché ou un crime, en obéissant à ta curiosité sexuelle comme c’est normal chez les jeunes, il est évident que de t’y livrer, même si c’est normal, fera que tu seras culpabilisé et honteux.
Ce sont les mêmes féminounes qui ont aussi essayé de faire croire que la Grèce antique n’était pas pédéraste (amourajeuse).
Les féminounes rejettent l’homosexualité mâle depuis des dizaines d’années. Pas étonnant que l’on soit passé d’un féminisme novateur et constructif à un féminisme qui régresse de plus en plus dans une paranoïa absolue de la sexualité comme du temps où l’Église décidait de tout en 1950.
L’emprisonnement de M. Edgar Fruitier est un exemple de la différence entre un tribunal d’inquisition et une cour de justice. Ce procès sur des gestes posés il y a 45 ans et assez anodins faut-il en convenir, sont devenus aujourd’hui des crimes. La folie ne porte pas qu’à tuer. En quoi mettre en prison un vieux de 91 ans protège-t-il les jeunes? C’est de l’abus et de l’aveuglement volontaire.
Tant qu’au dénonciateur il aurait avantage à rencontrer un psychologue plutôt qu’à chercher à se venger en se servant d’un juge.