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Radioactif 57

juin 4, 2021

Radioactif 57

15 Août 2007

Assimilation.

Les fédérastes ont toujours essayé d’angliciser le Québec.  Ils se sont servis de trois moyens privilégiés que l’on retrouvait déjà dans le rapport Durham, niant notre culture : l’éducation, l’immigration et la langue de travail.

Au niveau de l’éducation, pour permettre aux francophones plus aliénés de fréquenter l’école anglaise, on se servait de la religion.  Il suffisait de se dire «autres» pour avoir accès à l’école anglaise.  La solution fut apportée par Mme Pauline Marois avec la création des écoles linguistiques.

Quand le Québec sera un pays, toutes les institutions devront se conformer à la norme de prédominance du français, mais, sur un plan individuel, le bilinguisme cessera d’être un danger d’assimilation, mais deviendra un avantage individuel extraordinaire.


15 Août 2007

Pas de religion à l’école.

La religion doit être enseignée dans les temples et dans les foyers et non dans les écoles.  Sauf, pour offrir un survol qui permet de comprendre ce qui unit tout le monde, malgré les religions, les écoles doivent demeurer absolument neutres. 

Le fanatisme religieux conduit à la violence et crée la discrimination.  La religion est un droit strictement individuel.  

Le droit à la religion a été inscrit dans la Charte des droits de la personne strictement pour s’assurer que l’on n’interdira pas à une religion d’exister comme dans les pays communistes. Il ne doit pas y avoir d’écoles religieuses.

Il n’appartient pas à l’état de dire si telle religion est bien une religion, comme tantrisme, par exemple.

3 juin 2021

Pour éliminer la différence autochtone, le gouvernement fédéral a inventé les pensionnats autochtones. Pire que la loi des indiens fédérale, le gouvernement s’arrogeait le droit de kidnapper des enfants, de les enlever de leurs familles et de les maltraiter. Il fallait tuer l’indien dans l’enfant. C’est horrible quand on pense à ça. Ça rappelle le cas des Enfants de Duplessis.  

Ce scandale touchait les enfants des filles mères.  On leur enlevait leur enfant dès la naissance pour permettre aux familles de ces mères de ne pas à avoir à rougir devant les autres et ne pas réveiller les salauds ou salopes qui mangent la réputation du voisin. On a revu ça avec la pandémie : des voisins qui ont du plaisir à dénoncer leurs voisins. Ce fut la même chose durant la crise d’octobre.

Quand le système pense qu’il a raison, il a toutes les armes pour imposer son point de vue et même l’indécence de se féliciter de ne pas déroger de sa façon de voir.

Aujourd’hui, selon les entrevues avec les autochtones, ça se passe autrement. Les enfants des familles indiennes sont retirés de chez eux pour être placés dans une famille blanche qui elle obéit aux règles morales de la société dominante.

La seule différence qui existe avec la position du fédéral vis-à-vis le Québec est la taille du Québec. On veut tuer le français au Canada.

On ne peut pas s’arranger de front pour essayer d’angliciser le Québec et d’en faire un  génocide comme dans les cas des autochtones qui sont divisés en tribus.  Ce serait trop évident.

Alors, on y va avec la constitution et la répartition des pouvoirs comme le disait le rapport Durham. Éducation. Immigration. Travail

Au Québec, les deux principaux canaux d’assimilation sont l’immigration (dont on ne peut pas se passer) mais dont on exagère la nécessité en prétendant qu’il faut prendre plus ‘immigrés pour combattre le manque de main d’œuvre et l’éducation. (Si on augmentait les salaires et la qualité de vie, on aurait probablement moins besoin d’autant d’immigrants). Mais, l’immigration est un atout. C’est essentiel. Mais, l’immigration ne doit pas être un instrument pour maintenir le cheap- labor ou pour angliciser lentement le Québec. Il faut des immigrants, mais il faut aussi la capacité de les intégrer à la société québécoise.

Le fédéral est maître des universités avec le Québec. Pas étonnant qu’il y autant d’universités anglophones au Québec  durant que le Canada étouffe les besoins des minorités francophones.  L’université Laurentienne en Ontario est un exemple extraordinaire.

Le fédéral s’occupe aussi du bilinguisme. Un moyen de mettre le nez dans le système linguistique québécois sous prétexte de défendre la fausse minorité anglophone du Québec. Tu ne peux pas être une minorité si tu fais partie de la majorité anglophone canadienne. On se rappellera du projet de « partition ». Des îlots canadiens anglophones dans un Québec francophone indépendant. .

Si on veut vraiment que le Québec soit une nation à l’intérieur du Canada, tout ce qui touche la culture devrait être exclusif au Québec, y compris l’immigration. Ce n’est pas une nouvelle revendication. C’était celle de Robert Bourassa, un premier ministre libéral du Québec. Le Québec serait simplement la bulle, l’état, la nation, francophone du Canada. Le respect des anglophones n’a jamais manqué au Québec.  Pour ce qui est du français, hors-Québec, le fédéral a déjà une loi sur le bilinguisme. C’est à lui de respecter ses responsabilités. Un Canada bilingue, c’est actuellement de la pure hypocrisie.

Les répartitions actuelles constitutionnelles permettent à la Cour suprême du Canada d’étouffer tous les efforts faits pour sauver le français en donnant raison à ceux qui s’opposent aux lois 21 et 96. Ce sont des lois qui forment le fondement même de la culture québécoise. Et, la culture est l’âme d’un peuple, d’une nation.

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