Le jeune espion.
Le jeune espion a été modifié à quelques reprises, soit au fur et à mesure que l’on inventait de nouvelles lois pour empêcher la publication de livres où il serait possible de parler de l’amourajoie (pédérastie).On pensait que la description était de la promotion. On avait plus peur de la réalité sexuelle humaine que du coronavirus. Est-ce que Freud avait raison : ceux qui n’ont pas de pénis essaient par tous les moyens de le faire disparaître.
Jean-François n’est pas un gars équilibré. Il découvre sa réalité sexuelle à travers la vie. Ces expériences dictent sont chemin vers ce qui deviendra le plus important dans tous ses rapports humains :l’amour. Le désir peut même se vivre sur une longue, très longue période, mais sa satisfaction ne garantit pas qu’il survivra au temps. L’amour, au contraire, est plus qu’un échange d’énergies, c’est une responsabilité.
Ce roman qui a servi également à me mériter une maîtrise en français à l’université de Sherbrooke et une bourse de 15,000$ du Conseil des Arts du Canada pour la recherche est passé de l’histoire d’une mine francophone en pays anglophone , à la découverte de la sexualité de Jean-François.
Ce livre qui avait gagné le prix de littérature à un des salons du livres n’a jamais été primé par qu’une des juges étaient lesbiennes et s’opposait à que je sois le récipiendaire. Le prix n’a jamais été remis. Voici donc Le jeune espion.
Illustration et conception de la page couverture :
Gabriel Deshaies
Correction :
Normand Lebeau
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jeansimoneau@cgocable.ca
Site internet de l’éditeur :
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Leseditionsdutemps.quebec.com
2015