Radioactif 161
Radioactif 161
28 Septembre 2007
Écriture.
J’ai toujours eu un petit côté tête enflée qui a développé en moi l’idée qu’un jour, je pourrai être un écrivain.
La vie se chargea de me rappeler qu’il en est rien. On ne peut pas défendre la pédérastie dans une société dominée par les féminounes qui rêvent 24 heures sur 24, à la castration de tous les mâles et l’élimination même, si c’était possible, de l’existence de la sexualité.
Le Québec se conduit à cet égard comme les pays en voie de développement qui n’ont accès à aucune éducation.
Maintenir la peur de la sexualité est une industrie très payante.
C’est drôle que dans L’homo-vicièr, Ester, symbole du féminisme, précède l’indépendance du Québec. De toute façon, plus je vieillis, moins je trouve important d’être reconnu un jour.
La jalousie en littérature est ce qu’est l’hypocrisie en politique. Elle tient presque toute la place à cause des gros » égos « .
Aussi, je ne tiens plus nécessairement à être une étoile de la pensée parce que nos étoiles sont les porte-paroles de ceux qui nous exploitent. Morale=profit.
Je livre mes expériences, sans but, ni prétention, pour m’amuser. Si elles servent à quelqu’un, tant mieux.
Dans 30 ans d’ici, on comprendra peut-être qu’il est préférable de combattre le surplus de population par l’homosexualité que par les génocides. La terre a ses limites et nous les dépasserons bientôt.
Aujourd’hui, il n’y a plus d’idéal. Il reste quelques vrais combats : éliminer la violence ; la peur, la misère et apprendre à respecter la nature. On est loin du compte… Et, si on est réaliste, c’est peine perdue.